1762. Élection d'Étienne Charbonnier, avocat, à la place de maire, 130 Durozier et Clivot, anciens magistrats, refusent de ren- 130 1767. Ordonnance du roi qui nomme maire Alexandre Dela- 137 Id. Id. Ce choix populaire cause une grande joie dans la cité, 138 Aignan, 139 Il revendique le droit exclusif de nommer un maire, 159 140 Grande mésintelligence entre la ville et le château, 143 Procès au parlement, 144 1770. Arrêt de la cour du parlement qui accorde au seigneur 146 Il choisit M. Poitelou-Dutarde, d'abord premier éche- 147 1772. Nomination de M. Poitelou-Dutarde, maire perpé- 152 1773. Ordonnance royale permettant au seigneur duc d'ac- Mort du seigneur duc Paul-Hippolite de Beauvilliers, 159 Mgr l'archevêque de Bourges, deviendra plus tard 166 1778. M. Juchereau, de Vicq-sur-Mahon, nouveau curé de Élection d'un nouveau doyen du chapitre, troubles 170 1785. M. Jachereau nommé doyen par l'archevêque de Bour- 1785. Disette effroyable, 173 177 1788. Statistique de Saint-Aignan adressée au gouvernement, 184 1789. Cahier de doléances de Saint-Aignan au gouvernement, - Peur panique. Ses effets à Saint-Aignan, manent, Effervescence du peuple. Loi martiale, - Élection populaire de Michel Bigot maire,. 1790. Installation de l'administration du district, Fédération patriotique à Tours, Orléans et Paris, Troubles à Thezée pour le culte, 185 186 188 190 192 193 196 197 200 201 203 204 Sédition féminine dans l'ancien couvent des reli- gieuses Bernardines. - - Anecdotes curieuses, Ouverture d'un club ou société populaire, Pierre Aubry, premier juge de paix élu par le peuple, Scission déplorable dans le club. Deux clubs au lieu Le maire Bigot court grand risque de la mort, Envoi à Saiut-Aignan de deux commissaires du départe- 222 1791. 1792. ment pour rétablir l'ordre. Inutilité de leurs ef- Envoi d'une troupe armée à la charge des citoyens, Le prêtre Larivière, cause principale des troubles, est enfin exilé. Retour à la paix, li - Démission forcée du maire Michel Bigot, Charluchet, notaire, est élu maire par les patriotes, Réouverture du club, L'évêque constitutionnel Grégoire en tournée, Il couronne la rosière à Saint-Aignan, Lettre de Grégoire à la société populaire, Fête solennelle du 14 juillet 1792, 223 225 227 234 234 235 236 237 239 240 242 243 1792. Proclamation de la patrie en danger, Déchéance du roi au 10 août. - Anecdotes, Élections de sept députés à la Convention nationale. 246 la Convention nationale, CHAPITRE XII. - (1791 à 1795.) CONVENTION NA TIONALE, L'abbé Pioche, nouveau curé constitutionnel, Nouvelles élections des autorités administratives, Troubles et attroupements tumultueux à l'occasion des grains, Le prêtre Buissonnier est nommé maire, 1793. L'arbre de la liberté est scié dans la nuit, 251 253 254 254 256 257 258 258 260 261 262 264 Lettre du commandant datée de Poitiers. 264 Autre lettre du même, datée de Bressuire. Les AN II. Réquisitions sur les riches pour les besoins des armées. Fêtes à l'occasion du mariage d'un ancien curé. Leur mise en liberté. Exhortation patriotique. 280 283 289 293 295 296 296 Epurations. 297 Fêtes de la Déesse de la Raison.— Détails intéres- 302 Arrestation du duc de Saint-Aignan et de son épouse, 305 Leur translation à Paris. La société populaire péti tionne en leur faveur. 306 Leur condamnation à mort. Sursis à la veuve en Renouvellement du comité de surveillance dans le 320 1795. AN IV. Le culte catholique est exercé dans un local parti- Le représentant Laurenceot arrive à Saint-Aignan. 326 329 329 329 Arrestation du 331 Il procède aux épurations des autorités publiques. député Foussedoire et autres, ses collègues. Désarmement des patriotes, spécialement de l'ancien procureur-syndic Pean. Persécution contre Salbrunne, ancien officier de la garde nationale, beau-frère du représentant Fous- 332 333 Arrestation, du citoyen Pean, il est déposé aux Car- envers l'épouse de Pean.. 337 Tentatives de persécutions contre divers patriotes de 341 Les prêtres catholiques se font rouvrir l'église. cent après une longue et arbitraire détention. Institution d'une administration cantonnale. 350 351 Pean, élu haut-juré par l'assemblée électorale, puis 352 Son installation, ses paroles bienveillantes à ses persé cuteurs. 352 Il dénonce le premier au gouvernement l'organisation 357 Le général Bonnard, à Blois, chargé par le gouverne ment de faire rejoindre les soldats réfractaires. Ses démêlés avec le commissaire Pean. 360 360 |