Rivalité de François i. et de Charles-quint, Volume 1Didier & Company, 1875 |
Contents
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Common terms and phrases
Alpes ambassadeurs armée Armerstorff attaquer avaient bataille Beaurain Bellay Béthune Bonnivet Bourgogne camp cantons capitaine Castille catholique cents hommes d'armes Charles VIII Charles-Quint château commandement comte conclave confédérés connétable de Bourbon côté couronne d'Angleterre d'Aragon d'Henri VIII Dépêche Déposition devait duc de Bourbon duché de Milan Dupuy écrivait électeurs empereur ennemis envoyé Espagnols Ferdinand florins Fran François Ier frontière Glay guerre Henri VIII hommes de pied Ibid impériale Italie italiens Jules l'Adda l'archevêque l'archiduc l'armée l'avait l'électeur l'empereur Maximilien l'empire l'Italie laisser lansquenets Lautrec Léon Léon X Lettre de François ligue Lombardie Louis XII Ludovic Sforza Lyon maison maître maréchal margrave Marseille Maximilien Sforza Mayence ment mille hommes n'avait Navarre Négociations Novare palatin pape Pays-Bas pontife pontifical prince Prospero Colonna Rome royaume de Naples s'était Saint-Siége Saint-Vallier seigneur serait Sforza souverain State Papers Suisses tion traité très-chrétien troupes Vénitiens Warthy Wolsey
Popular passages
Page 246 - Dieu soit loué de ce que ce n'est pas moi qui « commence la guerre , et de ce que le roi de « France veut me faire plus grand que je ne »( suis ; car en peu de temps , ou je serai un bien « pauvre empereur, ou il sera un pauvre roi de
Page 83 - Ravennrs, que ce ne fût au prix qu'un tiercelet. Madame, le sénéchal d'Armagnac avec son artillerie ose bien dire qu'il a été cause en partie du gain de la bataille, car jamais homme. n'en servit mieux. Et Dieu merci tout fait bonne chère , je commencerai par moi et par mon frère le connétable, par M.
Page 360 - Mon fils , lui avait-elle dit, considérez que la maison de Bourbon a été alliée de la maison de Bourgogne, et que durant cette alliance elle a toujours fleuri et été en prospérité. Vous voyez à cette heure ici les affaires que nous avons , et le procès que on vous met sus ne procède que à faute d'alliance.
Page 136 - L'ambassadeur de ce prince, Thomas Boleyn, lui ayant demandé s'il irait faire la guerre en personne aux infidèles dans le cas où il serait élu, il le saisit vivement par la main, et, posant l'autre sur son cœur, il lui dit : « Trois ans après l'élection, je jure que je serai à Constantinople ou que je serai mort.
Page 360 - ... faute d'alliance. Je vous prie et commande que vous preniez l'alliance de l'empereur. Promettez-moi d'y faire toutes les diligences que vous pourrez, et j'en mourrai plus contente (1).
Page 359 - Ier. Il avait fait dire au connétable par le prévôt d'Utrecht, Philibert Naturelli, son ambassadeur à la cour de France : « Monsieur, vous êtes maintenant à marier; l'empereur mon maître, qui vous aime, a une sœur dont j'ai charge de vous parler, si vous y voulez entendre (2).
Page 175 - Nous avons donc jeté les yeux sur le très-invincible et très-chrétien prince François, par la faveur de Dieu roi des Français, duc de Milan et seigneur de Gênes, qui, par son âge florissant, son habileté, sa justice, son expérience militaire, l'éclatante fortune de ses armes, et toutes les autres qualités qu'exigent la guerre et la conduite de la république, surpasse, au jugement de chacun, tous les autres princes chrétiens.
Page 117 - Il s'apprêtait ainsi à être le plus délié et le plus ferme politique de son temps, à regarder la fortune en face, sans s'enivrer de ses faveurs, sans se troubler de ses disgrâces, à ne s'étonner d'aucun événement, à se résoudre dans tous les périls.
Page 488 - VIII d'agir vite et résolûment dans l'intérêt et pour'la renommée de leur maître. Il faisait dépendre de lui le succès de l'entreprise, et en mettait le revers sous sa responsabilité dans le cas où il ne prendrait pas les mesures propres à la faire réussir. Il avait la hardiesse de lui dire : « Si vous n'avez point égard à ces choses, j'imputerai à votre grâce la perte de la couronne de France (3).
Page 87 - Il lui montra en même temps les lettres qu'il venait de recevoir, et Léon X, certain alors du grand revers essuyé par les Suisses, et en redoutant les suites pour tous les États italiens, dit avec effroi : « Qu'adviendra-t-il de nous et de vous aussi (2) ? — Quant à nous, répondit Marino Giorgi, nous sommes avec le roi très-chrétien, et votre Sainteté n'a rien à craindre de lui, non plus que le Saint-Siége ; n'estil pas le fils aîné de l'Église? — Nous verrons, ajouta Léon X,...