Oeuvres, Volume 2 |
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Page 22
... sens sont - ils glacés ? VORCESTRE . * L'orgueil n'aveugle point ceux que l'honneur éclaire , Et je suis citoyen avant que d'être pere . Mon sang seroit en vain par le sceptre illustré Si moi - même à mes yeux j'étois déshonoré ; Ces ...
... sens sont - ils glacés ? VORCESTRE . * L'orgueil n'aveugle point ceux que l'honneur éclaire , Et je suis citoyen avant que d'être pere . Mon sang seroit en vain par le sceptre illustré Si moi - même à mes yeux j'étois déshonoré ; Ces ...
Page 28
... sens égarés as - tu fait entrevoir ? Garde - toi de nourrir un dangereux espoir : Tu me rendrois heureuse en flattant ma tendresse ; Mais je crains un bonheur qui coûte une foiblesse . Allons ; c'est trop tarder , abandonnons des lieux ...
... sens égarés as - tu fait entrevoir ? Garde - toi de nourrir un dangereux espoir : Tu me rendrois heureuse en flattant ma tendresse ; Mais je crains un bonheur qui coûte une foiblesse . Allons ; c'est trop tarder , abandonnons des lieux ...
Page 61
... sens interdits soutenez la foiblesse ... Que venez - vous chercher aux portes de la mort ? Pourquoi m'avez - vous fui dans un plus heureux sort ? Quel désert à mes soins cachoit vos destinées ? Privé de vous , hélas ! j'ai perdu mes ...
... sens interdits soutenez la foiblesse ... Que venez - vous chercher aux portes de la mort ? Pourquoi m'avez - vous fui dans un plus heureux sort ? Quel désert à mes soins cachoit vos destinées ? Privé de vous , hélas ! j'ai perdu mes ...
Page 62
... sens comme ma fin l'instant qui nous sépare ; Mais fuyez , craignez tout dans ce palais barbare : Je mourrai doublement si vous y périssez . ARONDEL . J'aurois cru qu'en m'aimant vous m'estimiez assez Pour devoir m'épargner le soupçon ...
... sens comme ma fin l'instant qui nous sépare ; Mais fuyez , craignez tout dans ce palais barbare : Je mourrai doublement si vous y périssez . ARONDEL . J'aurois cru qu'en m'aimant vous m'estimiez assez Pour devoir m'épargner le soupçon ...
Page 65
... sens épouvantés étouffant le murmure , Un cœur vraiment anglois s'asservit la nature ; Il chérit moins le jour qu'il n'abhorre les fers ; Il sait vaincre la mort , l'effroi de l'univers . Pour vous affranchir donc au sein de l'esclavage ...
... sens épouvantés étouffant le murmure , Un cœur vraiment anglois s'asservit la nature ; Il chérit moins le jour qu'il n'abhorre les fers ; Il sait vaincre la mort , l'effroi de l'univers . Pour vous affranchir donc au sein de l'esclavage ...
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Common terms and phrases
affreux Aglaé ALZONDE amour ARISTE ARONDEL assez auroit avoit belle bonheur brillant carriere CHANT charmant cher Chloé ciel CLÉON cœur connoissez connoître crime crois déja desirs dieux doge de Venise DUMONT ÉDOUARD ÉDOUARD III Élysée encens enfin ennuyeux esprit êtes étoit EUGÉNIE FLORISE foible foiblesse FRONTIN fureur gens GÉRONTE GLASTON gloire goût graces Gresset HAMILTON héros heureux homme honneur ISMENE j'ai j'aurois j'en jamais jour l'air l'ame l'amitié l'amour l'esprit l'harmonie l'honneur l'univers laisse lieux LISETTE long-temps lumiere m'en madame maître malheur messieurs mœurs monde Monseigneur monsieur Pommier mort mortel musique n'étoit par-tout parler paroître PARRAIN MAGNIFIQUE patrie pense pere peuple plaire plaisir plaisirs pourroit premiere qu'un raison reste ridicule rien ROSALIE s'il sais SCENE VII secret seigneur sentiment seroit seul SIDNEI soins Soissons sort talents triste trône vais VALERE vertu veut veux voilà vois voix VOLFAX VORCESTRE yeux zéphyr
Popular passages
Page 250 - Ou sans cesse essuyer des scènes de dépit, Des fureurs sans amour, de l'humeur sans esprit; Un amour-propre affreux , quoique rien ne soutienne... LISETTE. Au fond je ne vois pas ce qui la rend si vaine.
Page 245 - Eh bien, on dit ailleurs qu'Éraste est amusant. Si vous parlez des faits et des tracasseries, Je n'y vois, dans le fond, que des plaisanteries ; Et si vous attachez du crime à tout cela, Beaucoup d'honnêtes gens sont de ces fripons-là : L'agrément couvre tout, il rend tout légitime.
Page 187 - II vous suffit qu'elle est aveugle sur son compte : Mais moi, qui vois pour vous les choses de sang-froid, Au fond je ne puis croire Ariste un homme droit : Géronte est son ami, cela depuis l'enfance.
Page 191 - Qu'un seigneur de paroisse est un être sublime , Vous entretient sans cesse avec stupidité De son banc , de ses soins , et de sa dignité : On n'imagine pas combien il se respecte ; Ivre de son château , dont il est l'architecte , De tout ce qu'il a fait sottement entêté, Possédé du démon de la propriété, Il réglera pour vous son penchant ou sa haine Sur l'air dont vous prendrez tout son petit domaine.
Page 185 - Au reste affichez tout. Quelle erreur est la vôtre ! Ce n'est qu'en se vantant de l'une qu'on a l'autre, Et l'honneur d'enlever l'amant qu'une autre a pris A nos gens du bel air met souvent tout leur prix.
Page 246 - L'ami de la maison ; si vous voulez le bien ; Allons trouver Géronte, et qu'il ne cache rien. Sa défiance ici tous deux nous déshonore : Je lui révélerai des choses qu'il ignore ; Vous serez notre...
Page 194 - N'auroit jamais produit le trouble où je me voi : Si tu le connoissois , si tu pouvois l'entendre, Ah ! tu saurois trop bien qu'on ne peut s'y méprendre ; Que rien ne lui ressemble , et que ce sont des traits Qu'avec d'autres, Lisette, on ne confond jamais. Le doux saisissement d'une joie imprévue , Tous les plaisirs du cœur m'ont remplie à sa vue : J'ai voulu l'appeler, je l'aurois dû , je crois ; Mes transports m'ont ôté l'usage, de la voix, II étoit déjà loin...
Page 171 - L'ont aimée avant toi , mais sans se charger d'elle : Pourquoi veux-tu payer pour tes prédécesseurs ? Fais de même, aucun d'eux n'est mort de ses rigueurs.
Page 240 - Consultez, écoutez pour juges, pour oracles, Les hommes rassemblés; voyez à nos spectacles, Quand on peint quelque trait de candeur, de bonté , Où brille en tout son jour la tendre humanité, Tous les cœurs sont remplis d'une volupté pure , Et c'est là qu'on entend le cri de la nature.
Page 180 - Qui n'en fait pas ? est-il si mince coterie Qui n'ait son bel esprit, son plaisant, son génie? Petits auteurs honteux, qui font, malgré les gens, Des bouquets , des chansons , et des vers innocents. Oh ! pour quelques couplets , fiez-vous à ma muse : Si votre Orphise en meurt, vous plaire est mon excuse...