Oeuvres, Volume 2 |
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Page 86
... air , quelque chose enfin dont au passage On pût avec honneur meubler son hermitage , On prendroit patience , on auroit un maintien ; Mais rien n'existe ici , ce qui s'appelle rien ; C'est pour un galant homme un pays de famine . J'ai ...
... air , quelque chose enfin dont au passage On pût avec honneur meubler son hermitage , On prendroit patience , on auroit un maintien ; Mais rien n'existe ici , ce qui s'appelle rien ; C'est pour un galant homme un pays de famine . J'ai ...
Page 87
... air d'embarras ? MATHURINE . Monsieur ... DUMONT . Ne craignez rien : où portiez - vous vos pas ? MATHURINE . Monsieur , je vous cherchois . DUMONT , à part . Ceci change la note : Me chercher ! mais vraiment elle n'est pas si sotte ...
... air d'embarras ? MATHURINE . Monsieur ... DUMONT . Ne craignez rien : où portiez - vous vos pas ? MATHURINE . Monsieur , je vous cherchois . DUMONT , à part . Ceci change la note : Me chercher ! mais vraiment elle n'est pas si sotte ...
Page 88
... air mystérieux de la profession , Quand on auroit servi vingt petites maîtresses , Et de l'art du message épuisé les finesses ? Mais ce rôle pour vous , ma fille , est un peu vieux : Votre âge en demande un que vous remplirez mieux ; Et ...
... air mystérieux de la profession , Quand on auroit servi vingt petites maîtresses , Et de l'art du message épuisé les finesses ? Mais ce rôle pour vous , ma fille , est un peu vieux : Votre âge en demande un que vous remplirez mieux ; Et ...
Page 95
... air froid , tout cela m'est incompréhensible ; Et si jusqu'à présent je ne vous avois vu Un maintien raisonnable , un bon sens reconnu , Franchement je croirois , excusez ce langage ... SIDNEI . Va , mon pauvre Dumont , je ne suis que ...
... air froid , tout cela m'est incompréhensible ; Et si jusqu'à présent je ne vous avois vu Un maintien raisonnable , un bon sens reconnu , Franchement je croirois , excusez ce langage ... SIDNEI . Va , mon pauvre Dumont , je ne suis que ...
Page 98
... air m'alarme trop pour le quitter d'un pas . SCENE VIII . DUMONT , HENRI . DUMONT . Il faut aller à Londre , et porter une lettre . HENRI . Deux , monsieur , s'il le faut . DUMONT . On va te la remettre ... Il est malade ou fou , peut ...
... air m'alarme trop pour le quitter d'un pas . SCENE VIII . DUMONT , HENRI . DUMONT . Il faut aller à Londre , et porter une lettre . HENRI . Deux , monsieur , s'il le faut . DUMONT . On va te la remettre ... Il est malade ou fou , peut ...
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Common terms and phrases
affreux Aglaé ALZONDE amour ARISTE ARONDEL assez auroit avoit belle bonheur brillant carriere CHANT charmant cher Chloé ciel CLÉON cœur connoissez connoître crime crois déja desirs dieux doge de Venise DUMONT ÉDOUARD ÉDOUARD III Élysée encens enfin ennuyeux esprit êtes étoit EUGÉNIE FLORISE foible foiblesse FRONTIN fureur gens GÉRONTE GLASTON gloire goût graces Gresset HAMILTON héros heureux homme honneur ISMENE j'ai j'aurois j'en jamais jour l'air l'ame l'amitié l'amour l'esprit l'harmonie l'honneur l'univers laisse lieux LISETTE long-temps lumiere m'en madame maître malheur messieurs mœurs monde Monseigneur monsieur Pommier mort mortel musique n'étoit par-tout parler paroître PARRAIN MAGNIFIQUE patrie pense pere peuple plaire plaisir plaisirs pourroit premiere qu'un raison reste ridicule rien ROSALIE s'il sais SCENE VII secret seigneur sentiment seroit seul SIDNEI soins Soissons sort talents triste trône vais VALERE vertu veut veux voilà vois voix VOLFAX VORCESTRE yeux zéphyr
Popular passages
Page 250 - Ou sans cesse essuyer des scènes de dépit, Des fureurs sans amour, de l'humeur sans esprit; Un amour-propre affreux , quoique rien ne soutienne... LISETTE. Au fond je ne vois pas ce qui la rend si vaine.
Page 245 - Eh bien, on dit ailleurs qu'Éraste est amusant. Si vous parlez des faits et des tracasseries, Je n'y vois, dans le fond, que des plaisanteries ; Et si vous attachez du crime à tout cela, Beaucoup d'honnêtes gens sont de ces fripons-là : L'agrément couvre tout, il rend tout légitime.
Page 187 - II vous suffit qu'elle est aveugle sur son compte : Mais moi, qui vois pour vous les choses de sang-froid, Au fond je ne puis croire Ariste un homme droit : Géronte est son ami, cela depuis l'enfance.
Page 191 - Qu'un seigneur de paroisse est un être sublime , Vous entretient sans cesse avec stupidité De son banc , de ses soins , et de sa dignité : On n'imagine pas combien il se respecte ; Ivre de son château , dont il est l'architecte , De tout ce qu'il a fait sottement entêté, Possédé du démon de la propriété, Il réglera pour vous son penchant ou sa haine Sur l'air dont vous prendrez tout son petit domaine.
Page 185 - Au reste affichez tout. Quelle erreur est la vôtre ! Ce n'est qu'en se vantant de l'une qu'on a l'autre, Et l'honneur d'enlever l'amant qu'une autre a pris A nos gens du bel air met souvent tout leur prix.
Page 246 - L'ami de la maison ; si vous voulez le bien ; Allons trouver Géronte, et qu'il ne cache rien. Sa défiance ici tous deux nous déshonore : Je lui révélerai des choses qu'il ignore ; Vous serez notre...
Page 194 - N'auroit jamais produit le trouble où je me voi : Si tu le connoissois , si tu pouvois l'entendre, Ah ! tu saurois trop bien qu'on ne peut s'y méprendre ; Que rien ne lui ressemble , et que ce sont des traits Qu'avec d'autres, Lisette, on ne confond jamais. Le doux saisissement d'une joie imprévue , Tous les plaisirs du cœur m'ont remplie à sa vue : J'ai voulu l'appeler, je l'aurois dû , je crois ; Mes transports m'ont ôté l'usage, de la voix, II étoit déjà loin...
Page 171 - L'ont aimée avant toi , mais sans se charger d'elle : Pourquoi veux-tu payer pour tes prédécesseurs ? Fais de même, aucun d'eux n'est mort de ses rigueurs.
Page 240 - Consultez, écoutez pour juges, pour oracles, Les hommes rassemblés; voyez à nos spectacles, Quand on peint quelque trait de candeur, de bonté , Où brille en tout son jour la tendre humanité, Tous les cœurs sont remplis d'une volupté pure , Et c'est là qu'on entend le cri de la nature.
Page 180 - Qui n'en fait pas ? est-il si mince coterie Qui n'ait son bel esprit, son plaisant, son génie? Petits auteurs honteux, qui font, malgré les gens, Des bouquets , des chansons , et des vers innocents. Oh ! pour quelques couplets , fiez-vous à ma muse : Si votre Orphise en meurt, vous plaire est mon excuse...