Oeuvres, Volume 2 |
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aime amour ARISTE assez aujourd'hui avoit beau belle bonheur brillant caractere CHANT charmant cher Chloé ciel CLÉON cœur compte conseils cour crime crois d'autres d'être déja destin dire doit donne doute DUMONT ÉDOUARD enfin esprit étoit EUGÉNIE FLORISE fond FRONTIN garde gens GÉRONTE gloire goût graces HAMILTON heureux homme honneur j'ai jour juge l'air l'amour l'esprit l'harmonie l'honneur laisse langue lettre lieux LISETTE loin madame main maître malheur mieux mœurs monde Monseigneur monsieur monsieur Pommier mort n'ai nature nouveau nouvelle paix par-tout parler Parrain passe peine pense pere petits peuple peut-être plaisir plaisirs porte premier présent qu'à qu'en qu'un raison regards rendre respect reste rien s'il sais sait SCENE secret seigneur sens sentiment sera seroit seul SIDNEI soins sort souvent sûre talents traits triste trouve VALERE vérité vertu veut veux vient voilà vois voix VOLFAX VORCESTRE vrai yeux
Popular passages
Page 252 - Ou sans cesse essuyer des scènes de dépit, Des fureurs sans amour, de l'humeur sans esprit; Un amour-propre affreux , quoique rien ne soutienne... LISETTE. Au fond je ne vois pas ce qui la rend si vaine.
Page 247 - Eh bien, on dit ailleurs qu'Éraste est amusant. Si vous parlez des faits et des tracasseries, Je n'y vois, dans le fond, que des plaisanteries ; Et si vous attachez du crime à tout cela, Beaucoup d'honnêtes gens sont de ces fripons-là : L'agrément couvre tout, il rend tout légitime.
Page 189 - II vous suffit qu'elle est aveugle sur son compte : Mais moi, qui vois pour vous les choses de sang-froid, Au fond je ne puis croire Ariste un homme droit : Géronte est son ami, cela depuis l'enfance.
Page 193 - Qu'un seigneur de paroisse est un être sublime , Vous entretient sans cesse avec stupidité De son banc , de ses soins , et de sa dignité : On n'imagine pas combien il se respecte ; Ivre de son château , dont il est l'architecte , De tout ce qu'il a fait sottement entêté, Possédé du démon de la propriété, Il réglera pour vous son penchant ou sa haine Sur l'air dont vous prendrez tout son petit domaine.
Page 187 - Au reste affichez tout. Quelle erreur est la vôtre ! Ce n'est qu'en se vantant de l'une qu'on a l'autre, Et l'honneur d'enlever l'amant qu'une autre a pris A nos gens du bel air met souvent tout leur prix.
Page 248 - L'ami de la maison ; si vous voulez le bien ; Allons trouver Géronte, et qu'il ne cache rien. Sa défiance ici tous deux nous déshonore : Je lui révélerai des choses qu'il ignore ; Vous serez notre...
Page 196 - N'auroit jamais produit le trouble où je me voi : Si tu le connoissois , si tu pouvois l'entendre, Ah ! tu saurois trop bien qu'on ne peut s'y méprendre ; Que rien ne lui ressemble , et que ce sont des traits Qu'avec d'autres, Lisette, on ne confond jamais. Le doux saisissement d'une joie imprévue , Tous les plaisirs du cœur m'ont remplie à sa vue : J'ai voulu l'appeler, je l'aurois dû , je crois ; Mes transports m'ont ôté l'usage, de la voix, II étoit déjà loin...
Page 173 - L'ont aimée avant toi , mais sans se charger d'elle : Pourquoi veux-tu payer pour tes prédécesseurs ? Fais de même, aucun d'eux n'est mort de ses rigueurs.
Page 242 - Consultez, écoutez pour juges, pour oracles, Les hommes rassemblés; voyez à nos spectacles, Quand on peint quelque trait de candeur, de bonté , Où brille en tout son jour la tendre humanité, Tous les cœurs sont remplis d'une volupté pure , Et c'est là qu'on entend le cri de la nature.
Page 182 - Qui n'en fait pas ? est-il si mince coterie Qui n'ait son bel esprit, son plaisant, son génie? Petits auteurs honteux, qui font, malgré les gens, Des bouquets , des chansons , et des vers innocents. Oh ! pour quelques couplets , fiez-vous à ma muse : Si votre Orphise en meurt, vous plaire est mon excuse...