| comte Georges Louis Leclerc de Buffon - 1799 - 472 pages
...eaux , tout m'occupait , m'ani~ moêt , et me donnoit un sentiment inexprimable de plaisir > je çtus d'abord que tous ces objets étaient en moi et faisaient...pensée naissante lorsque je tournai les yeux vers V astre de la lumière ; son éclat me blessa ; je fermai involontairement la paupière, et je sentis... | |
| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pages
...la voûte céleste , la verdure de là terre , le cristal des eaux , tout m'occupait , m'animait , et me donnait un sentiment inexprimable de plaisir....de la lumière ; son éclat me blessa ; je fermai involontairement la paupière , et je sentis une légère douleur. Dans ce moment d'obscurité je crus... | |
| Ludwig Ideler - 1812 - 618 pages
...d'abord que toui cei objets étoient en moi et „faisoi.-nt partie de moi-même. „Je m'affcrmissois dans cette pensée naissante, lorsque je „tournai...de la lumière: son éclat me bles„sa; je fermai involontairement la paupière, et je sentis ime „légère douleur. Dans ce moment d'obscurité je... | |
| French literature - 1821 - 480 pages
...sentiment inexprimable 'de plaisir. Je crus d'abord que tous c^s objets étoient en moi, et faisoient partie de moi-même. Je m'affermissais dans cette...vers l'astre de la lumière : son éclat me blessa j je fermai involontairement la paupière, et je sentis une legère douleur. Dans ce moment.d'obscurité,... | |
| Sophie Cottin - Exiles - 1823 - 442 pages
...voûte céleste, la verdure de la terre, le crystal des eaux, tout m'occupoit, m'animoit, et me donnoit un sentiment inexprimable de plaisir. Je crus d'abord que tous ces objets étoient en moi, et faisoient partie de moi même. Je m'affermissois dans cette pensée naissante,... | |
| Authors - 1824 - 514 pages
...lumière , la voûte céleste , la verdure de la terre, le cristal des eaux, tout m'occupait, m'animait, et me donnait un sentiment inexprimable de plaisir....l'astre de la lumière; son éclat me blessa; je fermai involontairement la * Voyez le même snjet , traité par Delille , à l'article MII.TOJI. paupière,... | |
| Elizabeth Lachlan - 1824 - 382 pages
...voute céleste, la verdure de la terre, le cristal des eaux, tout, en un mot, m'animoit, et me donnoit un sentiment inexprimable de plaisir. Je crus d'abord que tous ces objets existoient en moi, et formoient une partie de moi-même. J'étois entièrementabsorbédans cette idée... | |
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - Natural history - 1827 - 524 pages
...tous « ces objets étoient en moi et faisoient partie de « moi-même. . ^ '. «Je m'affermissois dans cette pensée naissante , , «lorsque je tournai les yeux vers l'astre de la lu-, « mière: son éclat me blessa; je fermai involontai^ ' « rement la paupière, et je sentis... | |
| Ludwig Ideler - French literature - 1831 - 630 pages
...cé,,leste, la verdure de la terre, le cristal des eaux, tout m'occu,,poit, m'animoit et me donnoit un sentiment inexprimable de ,,plaisir. Je crus d'abord que tous ces objets étoient en moi et ,,faisoient partie de moi-même. ,,Je m'affermissois dans cette pensée naissante,... | |
| François Noel - 1835 - 596 pages
...voûte céleste , la verdure de la terre, le cristal des eaux, tout m'occupoit, m'animoit, et me donnoit un sentiment inexprimable de plaisir. Je crus d'abord que tous ces objets étoient en moi , et faisoient partie de moi-même. Je m'affcrmissois dans cette pensée naissante,... | |
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