J'étais plein de M. de Voltaire : il avait comblé de borilés mon enfance. Avant de savoir qu'il était le plus grand des écrivains, j'avais su qu'il était le plus aimable des hommes, et mon attachement pour lui était plus ancien que mon admiration.... Florian, sa vie, ses oeuvres, sa correspondance - Page 31by Albin de Montvaillant - 1879 - 228 pagesFull view - About this book
| Florian - 1812 - 394 pages
...il avait comblé de bonte's mon enfance. Avant de savoir qu'il était le plus grand des ecrivains, j'avais su qu'il était le plus aimable des hommes,...pour lui était plus ancien que mon admiration. Dans nus fréquens voyages à Ferney, je l'avais vu bâtir uno ville, où il rendait heureux par ses bienfaits... | |
| Jean Pierre Claris de Florian - 1820 - 244 pages
...de la verve , je me mis à écrire. J'étais plein de AL de Voltaire : il avait comblé de bontés mon enfance. Avant de savoir qu'il était le plus...écrivains, j'avais su qu'il était le plus aimable des ijommes, et mon attachement pour lui était plus ancien que mon admiration. Dans nus fréquens voyages... | |
| Florian - 1820 - 490 pages
...pour de la verve, je me mis à écrire. J'étais plein de M. de Voltaire : il avait comblé de bontés mon enfance. Avant de savoir qu'il était le plus grand des écrivains, j'avais su qu'il était te plus aimable des hommes, et mon attachement pour lui était plus ancien que mon admiration. Dans... | |
| Florian - Fables, French - 1825 - 332 pages
...verve , je me mis à écrire. Ftorian. a5 J'étais plein de M. de Voltaire : il avait comble de bontés mon enfance. Avant de savoir qu'il était le plus...lui était plus ancien que mon admiration. Dans mes fréquens voyages à ï'crney, je. l'avais vu bâtir une ville , où il rendait heureux par ses bienfaits... | |
| Florian - Fables - 1850 - 572 pages
...de la verve, je me mis à écrire. J'étais plein de M. de Voltaire : il avait comblé de borilés mon enfance. Avant de savoir qu'il était le plus...avait attirés. Je l'avais entendu parler avec horreur dela mainmorte, et gémir sur le sort de douze mille habitants du mont Jura, soumis à celle loi atroce.... | |
| Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen (France) - Science - 1876 - 508 pages
...« verve, je me mis ;\ écrire. « J'étais plein de M. de Voltaire. Il avait corn« blé de bontés mon enfance. Avant de savoir qu'il « était le plus...qu'il « était le plus- aimable des hommes, et mon atta« chement pour lui était plus ancien que mon admi« ration. Dans mes fréquents voyages de Ferney,... | |
| Société archéologique de Rambouillet - Rambouillet (France) - 1895 - 1060 pages
...île la verve, je me mis à écrire. « J'étais plein de M. de Voltaire: il avait comblé de bontés mon enfance. Avant de savoir qu'il était le plus grand des écrivains, j'avais senti qu'il était le plus aimable des hommes, et mon attachement pour lui était plus ancien que mon... | |
| |