Histoire des idées morales et politiques en France au dix-huitième siècle, Volume 2 |
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... traits de constance et d'intrépidité qui m'avaient frappé me rendait les yeux étincelants et la voix forte . Un jour que je racontais à table l'aventure de Scævola , on fut effrayé de me voir avancer la main sur un réchaud pour re ...
... traits de constance et d'intrépidité qui m'avaient frappé me rendait les yeux étincelants et la voix forte . Un jour que je racontais à table l'aventure de Scævola , on fut effrayé de me voir avancer la main sur un réchaud pour re ...
Page 26
... agit ici d'un Espagnol , Ignacio Emmanuel de Altuna , avec lequel Rousseau s'était lié à Venise , et dont il nous a tracé le por trait le plus séduisant . l'en dispense ; s'il est affilié à tout ce qu'il 26 DIX - NEUVIÈME LEÇON .
... agit ici d'un Espagnol , Ignacio Emmanuel de Altuna , avec lequel Rousseau s'était lié à Venise , et dont il nous a tracé le por trait le plus séduisant . l'en dispense ; s'il est affilié à tout ce qu'il 26 DIX - NEUVIÈME LEÇON .
Page 56
... traits insultants contre une nation puissante et respectable , dont il n'a encore éprouvé que la patience et la bonté . Mais il y eut évidemment une autre cause dont il faut bien aussi tenir compte c'était tout simplement l'intolérance ...
... traits insultants contre une nation puissante et respectable , dont il n'a encore éprouvé que la patience et la bonté . Mais il y eut évidemment une autre cause dont il faut bien aussi tenir compte c'était tout simplement l'intolérance ...
Page 65
... trait raconté par la Correspondance de Grimm dont il serait injuste de ne pas lui tenir compte . « A propos de M. de Voltaire et de J.-J. Rousseau , dit Grimm , il faut conserver ici une anecdote qu'un témoin oculaire nous conta l'autre ...
... trait raconté par la Correspondance de Grimm dont il serait injuste de ne pas lui tenir compte . « A propos de M. de Voltaire et de J.-J. Rousseau , dit Grimm , il faut conserver ici une anecdote qu'un témoin oculaire nous conta l'autre ...
Page 69
... trait final fut fourni par Hume , qui , dans un dîner chez lord Ossory , où cette lettre avait été lue , proposa l'addition de cette plaisanterie , chose qu'il n'aurait pas dû se permettre dans les termes où il était alors avec Rousseau ...
... trait final fut fourni par Hume , qui , dans un dîner chez lord Ossory , où cette lettre avait été lue , proposa l'addition de cette plaisanterie , chose qu'il n'aurait pas dû se permettre dans les termes où il était alors avec Rousseau ...
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Common terms and phrases
âme Annecy BARNI besoin caractère chose cipe citoyen cœur condition Confessions conscience conséquence Contrat social convenait Corancez d'ailleurs d'Alembert David Hume despotisme devoirs Diderot dire discours dit-il doctrine doit donne doute écrit effet enfants Ermenonville esprit état femme force Genève gens Girardin gouvernement Grimm hommes humaine idées morales j'ai jamais JEAN-JACQUES ROUSSEAU jugement juste justice Kant l'amour l'auteur du Contrat l'éducation l'Émile l'Encyclopédie l'esprit l'homme laisser leçon lettre liberté libre livre lois lui-même Madame d'Épinay madame de Staël madame de Vandeul madame de Warens madame du Deffand maître Malheureusement maximes ment mieux Mme de Warens Montesquieu mort de Rousseau n'en nature naturelle nécessaire non-seulement parler passions pensée père personne peuple philosophe politique premier principe qu'un question raison religion répond reste rien Rous seau sentiment serait seul société sorte souverain souveraineté spectacle sujet théâtre théorie tion très-bien vérité vertu veut vice Voilà volonté générale Voltaire vrai XVIIIe siècle
Popular passages
Page 228 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre .qu'auparavant.
Page 233 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Page 259 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu qui,- par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 135 - Conscience! conscience! instinct divin, immortelle et céleste voix; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 278 - Ces clauses bien entendues se réduisent toutes à une seule, savoir l'aliénation totale de chaque associé avec tous ses droits à toute la communauté...
Page 200 - Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 36 - Tout à coup, je me sens l'esprit ébloui de mille lumières ; des foules d'idées vives s'y présentent à la fois avec une force et une confusion qui me jeta dans un trouble inexprimable ! Je sens ma tête prise par un étourdissement semblable à l'ivresse. Une violente palpitation m'oppresse, soulève ma poitrine ; ne pouvant plus respirer en marchant, je me laisse tomber sous un des arbres de l'avenue et j'y passe une demi-heure dans une telle agitation qu'en me relevant, j'aperçus tout le...
Page 278 - La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point : elle est la même, ou elle est autre; il n'ya point de milieu.
Page 199 - Ainsi toute l'éducation des femmes doit être relative aux hommes. Leur plaire , leur être utiles , se faire aimer et honorer d'eux , les élever jeunes, les soigner grands, les conseiller, les consoler, leur rendre la vie agréable et douce ; voilà les devoirs des femmes dans tous les temps, et ce qu'on doit leur apprendre dès leur enfance.
Page 217 - JE veux chercher si, dans l'ordre civil, il peut y avoir quelque règle d'administration légitime et sûre, en prenant les hommes tels qu'ils sont, et les lois telles qu'elles peuvent être. Je tâcherai d'allier toujours dans cette recherche ce que le droit permet avec ce que l'intérêt prescrit, afin que la justice et l'utilité ne se trouvent point divisées.