Les blancs et les bleus: 1.[-3.] sér, Volume 1Michel Lévy frères, 1870 - France |
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Common terms and phrases
Abatucci aide de camp arrivé assignats Auenheim avaient bataille bataillon de l'Indre Bauer Besançon Bischwillers bonnet de police bras c'était canon capitaine cents chambre charrette chasseurs cheval chose cinq citoyen Fenouillot citoyen Saint-Just citoyen Tétrell citoyenne Teutch Clotilde Coclès cœur combat Compagnons de Jéhu coup d'Euloge Dawendorff demanda Pichegru Dieu dire dit-il Doumerc émigré enfant envoyé êtes Eugène Euloge Schneider faisait Falou Faraud Fauche-Borel fenêtre Froschwiller fusil guillotine heures Hoche hussards instant j'ai jeta jeune homme jour l'armée l'enfant l'ennemi l'hôtel laisser Lanterne Macdonald madame Teutch main matin mort Moselle officiers passer pauvre père petit Charles Pierre Augereau Plobsheim porte de Haguenau premier prince de Condé prisonnier prit Prussiens répondit reste Rhin s'était sabre Saint-Just Sainte-Hermine sera sergent sergent-major seulement soldats sortit Spartacus Stéphan Strasbourg tambours tête toyen venait village vin de Champagne Vive la République voilà voix Weissembourg Worth
Popular passages
Page 73 - Que l'éclat d'une cour et le sceptre d'un maître. Je suis fils de Brutus, et je porte en mon cœur La liberté gravée et les rois en horreur.
Page 72 - Si dans le sein de Rome il se trouvait un traître, Qui regrettât les rois et qui voulût un maître , Que le perfide meure au milieu des tourmens ! Que sa cendre...
Page 283 - ... démolition générale et prompte. Avec une armée de douze mille maçons, la besogne ira grand train, et Toulon doit être rasé en quinze jours.
Page 172 - O'Hara, blessé d'un coup de feu au bras droit. »Les deux généraux devaient être touchés dans cetteaction, car j'ai reçu deux fortes contusions, dont une au bras droit et l'autre à l'épaule, mais sans danger. Après avoir renvoyé 'vivement l'ennemi d'où il venait, nos républicains, par un élan courageux mais désordonné, ont marché vers Malbousquet sous le feu vraiment formidable de ce fort. Ils ont enlevé les tentes d'un camp qu'ils avaient fait évacuer par leur intrépidité. Cette...
Page 171 - Le général d'artillerie foudroiera Toulon pendant trois jours, au bout desquels je l'attaquerai sur trois colonnes, et l'enlèverai. » Mais, à Paris, le comité du génie trouva cette mesure expéditive beaucoup plus gaie que savante, et c'est ce qui contribua à faire rappeler Cartaux.
Page 100 - Schneider, lui dit-elle, j'exige de ta tendresse une de ces grâces qu'on ne refuse pas à sa fiancée ; il se mêle un peu d'orgueil à mon bonheur. Ce n'est...
Page 173 - ... faisons si bien à l'improviste? » Je ne saurais trop louer la bonne conduite de tous ceux de nos frères d'armes qui ont voulu se battre ; parmi ceux qui se sont le plus distingués et qui m'ont le plus aidé à rallier et pousser en avant, ce sont les citoyens Buona-Parte, commandant l'artillerie, Aréna et Cervoni, adjudants généraux.
Page 172 - ... escadrons qui nous poursuivent. Ce mouvement encourage les nôtres et déconcerte l'ennemi qui, pour la deuxième fois, fait demi-tour, laissant sur le terrain un grand nombre de morts et de blessés. Nous nous élançons à sa poursuite, mais deux pièces d'artillerie qui, pendant le combat, avaient pris position, commencent à tirer sur nous, en même temps qu'un bataillon d'infanterie s'avance par le bois. Le colonel fait alors sonner le demi-tour et les trois escadrons engagés viennent se...
Page 73 - Rome il se trouvait un traître Qui regrettât les rois et qui voulût un maître, Que le perfide meure au milieu des tourments! Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans, que Rome entière abhorre ! ARONS, avançant vers l'autel.
Page 175 - ... s'aperçut qu'il s'agissoit d'une exécution, il fit deux ou trois pas en arrière ; mais le général Eisenberg l'appela d'une voix forte, et il resta pour l'écouter. " Adieu, Pichegru," dit Eisenberg avec une énergie dont son accent tudesque n'affoiblissoit pas l'expression. " Je vais à la mort et je te laisse avec plaisir au faîte des honneurs, où ton courage t'a porté ; je sais que ton cœur rend justice à ma loyauté trahie par le sort de la guerre, et qu'il a secrètement pitié...