Jean Galbert de Campistron in seiner bedeutung als dramatiker für das theater Frankreichs und des auslandes

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Druck von O. Schmidt, 1903 - 96 pages
 

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Popular passages

Page 71 - Ich kann es mir jetzt nicht vergeben, daß ich so eigensinnig, vielleicht auch so eitel war, um in einer entgegengesetzten Sphäre zu glänzen, meine Phantasie in die Schranken des bürgerlichen Kothurns einzäunen zu wollen, da die hohe Tragödie ein so fruchtbares Feld und für mich, möchte ich sagen, da ist...
Page 46 - Des dieux que nous servons connais la différence : Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance ; Et le mien , quand ton bras vient de m'assassiner , M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 43 - On a loué la sagesse de ses plans : ils sont raisonnables, il est vrai, mais on n'a pas songé qu'ils sont aussi faiblement conçus qu'exécutés. Campistron n'avait de force d'aucune espèce : pas un caractère marqué , pas une situation frappante, pas une scène approfondie, pas un vers nerveux. Il cherche sans cesse à imiter Racine; mais ce n'est...
Page 82 - Moi, toujours renfermé dans ces murs malheureux, Occupé jusqu'ici par de frivoles jeux, Je ne sais ni l'emploi ni l'ordre d'une armée Que par des traits confus ou par la renommée. Ah ! ce seul souvenir, plus que tous mes malheurs M'irrite, me dévore, et m'arrache des pleurs. Allons: obéissons au transport qui me guide Et prenons vers la gloire un essor si rapide, Que dans leur nombre un jour mes exploits confondus Suffisent à remplir les jours que j'ai perdus.
Page 71 - Karlos würde nichts weniger sein, als ein politisches Stück - sondern eigentlich ein Familiengemälde in einem fürstlichen Hause...
Page 84 - L'amour ne fait point seul mon destin rigoureux. Eh quoi ! pour pénétrer l'excès de ma misère, Ne te suffit-il pas de connoitre mou père? L'empereur, soupçonneux, esclave de son rang, Ne m'a jamais fait voir les tendresses du sang : Les plus saints mouvements que la nature imprime, Dans son austère...
Page 45 - Seigneur... DAVID. Quitte un respect qui n'est que dans ta bouche , Et t'apprête à répondre à tout ce qui me touche. Mais quand ton bras impie est levé contre moi , M'est-il permis d'attendre un service de toi? ABSALON. Votre puissance ici, seigneur, est absolue. DAVID. Chasse donc ce perfide , odieux à ma vue , Ce monstre dont l'aspect empoisonne ces lieux. ACHITOPHEL. Je puis...
Page 42 - Racine que d'un pinceau timide; il manque à cet auteur, d'ailleursjudicieux et tendre, ces beautés de détail, ces expressions heureuses, qui sont l'âme de la poésie et font le mérite des Homère, des Virgile, des Tasse, des Milton-, des Pope, des Corneille, des Racine, des Roileau.
Page 93 - Michaelis 1891 mit dem Zeugnis der Reife verliess. Um mich dem Studium der neueren Sprachen zu widmen, bezog ich die Universitäten Halle, Freiburg, Berlin, Genf, Marburg und von Ostern 1896 ab Greifswald.
Page 84 - Unglücklicher! Warum an den mich mahnen? Sprich mir von allen Schrecken des Gewissens; Von meinem Vater sprich mir nicht.

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