faisaient tomber les murailles des villes. Les Français arrivaient aux portes avec le drapeau tricolore ; ils les trouvaient ouvertes et ne pouvaient passer ; tout le monde venait à leur rencontre et les reconnaissait sans les avoir jamais vus ; les... Histoire de Savoie - Page 140by Victor Bénigne Flour de Saint-Genis - 1869Full view - About this book
| Jules Michelet - France - 1849 - 664 pages
...92). 267 cris d'un peuple ivre de joie. Les commissaires do la Convention, qui bientôt le joignirent, furent saisis d'étonnement, profondément émus,...vieilles histoires. On chante encore, dans la vallée de Chaniounix, comme chose nouvelle, la complainte de M. de Birou mort en 1602. Aimable peuple de Saint... | |
| Jules Michelet - France - 1849 - 540 pages
...pas passer; tout le monde venait à la rencontre et les reconnaissait , sans les avoir jamais vus ; les hommes les embrassaient , les femmes les bénissaient , les enfants les désarmaient... On leur arrachait le drapeau, et tous disaient : « C'est le nôtre ! » Grande et bonne journée pour... | |
| Jules Michelet - France - 1849 - 554 pages
...pas passer; tout le monde venait à la rencontre et les reconnaissait , sans les avoir jamais vus ; les hommes les embrassaient , les femmes les bénissaient , les enfants les désarmaient... On leur arrachait le drapeau, et tous disaient : « C'est le nôtre ! » DU MONDE VERS LA FRANCE (SEPT.-NOV.... | |
| Jules Michelet - France - 1878 - 328 pages
...pouvaient passer. Tout le monde venait à leur rencontre et les reconnaissait sans les avoir jamais vus. Les hommes les embrassaient; les femmes les bénissaient; les enfants les désarmaient. On leur prenait des mains leur drapeau, et tous disaient : « C'est le nôtre ! » Grande et bonne... | |
| Jules Michelet - France - 1879 - 424 pages
...pas passer; tout le monde venait à la rencontre et les reconnaissait, sans les avoir jamais vus ; les hommes les embrassaient, les femmes les bénissaient, les enfants les désarmaient... On leur arrachait le drapeau, et tous disaient : « C'est le nôtre. » Grande et bonne journée pour... | |
| Albert Sorel - Europe - 1891 - 568 pages
...franchissant la frontière, écrivaientils, nous n'avons pas cru changer de pays *. » Ils découvraient « une France inconnue, une vieille France naïve qui,...dans la langue de Henri IV, bégayait la Révolution. Ces pauvres gens, cruellement étouffés par le Piémont, avaient depuis longtemps coutume d'aller... | |
| Albert Sorel - 1891 - 572 pages
...franchissant la frontière, écrivaientils, nous n'avons pas cru changer de pays *. » Ils découvraient • une France inconnue, une vieille France naïve qui,...dans la langue de Henri IV, bégayait la Révolution. Ces pauvres gens, craellement étouffés par le Piémont, avaient depuis longtemps coutume d'aller... | |
| Savoy (France and Italy) - 1898 - 666 pages
...retrouvent, s'embrassent : voilà cette simple et grande histoire Les commissaires de la Convention furent saisis d'étonnement, profondément émus,...dans la langue de Henri IV bégayait la Révolution Aimable peuple de saint François de Sales, peuple qui fit Rousseau, combien la France lui devait à... | |
| Savoy (Duchy). Assemblée des députés des communes de la Savoye - 1908 - 260 pages
...pouvaient passer ; tout le monde venait à leur rencontre et les reconnaissait sans les avoir jamais vus ; les hommes les embrassaient, les femmes les bénissaient,...dans la langue de Henri IV, bégayait la Révolution » (1). (1) Cf. Michelet, Histoire de la Révolution, t. IV, p. 267. PREMIÈRE PARTIE PROCÈS-VERBAUX... | |
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