Histoire de la Révolution de France, Volume 2Méquignon, 1834 - France |
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... tribune , et demanda que la religion catholique fût reconnue religion de l'Etat . « La motion de M. l'évêque de Nanci << est injurieuse , s'écria Roederer ; elle tend à <<< faire croire que des dangers menacent la re- ligion . » C'est ...
... tribune , et demanda que la religion catholique fût reconnue religion de l'Etat . « La motion de M. l'évêque de Nanci << est injurieuse , s'écria Roederer ; elle tend à <<< faire croire que des dangers menacent la re- ligion . » C'est ...
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... tribune . << Il n'est pas au pouvoir de l'assemblée , s'é- « < cria Cazalès , de ne pas reconnaître que le << gouvernement de France est monarchique , << et cependant vous l'avez décrété : pourquoi « < ne pas faire pour la religion ce ...
... tribune . << Il n'est pas au pouvoir de l'assemblée , s'é- « < cria Cazalès , de ne pas reconnaître que le << gouvernement de France est monarchique , << et cependant vous l'avez décrété : pourquoi « < ne pas faire pour la religion ce ...
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... tribune comme un ins- trument des vengeances du prince , et comme une · propriété royale entretenue aux dépens du peu- ple pour le tenir dans l'oppression . La direction de l'armée passa presque tout entière dans les attributions de l ...
... tribune comme un ins- trument des vengeances du prince , et comme une · propriété royale entretenue aux dépens du peu- ple pour le tenir dans l'oppression . La direction de l'armée passa presque tout entière dans les attributions de l ...
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... tribune que des jours étaient venus où les représentans avaient rajeuni la nation ; où le germe des ver- tus venait d'éclore au premier jour de la li- berté ; où la génération nouvelle , animée de sentimens purs , nobles , et ...
... tribune que des jours étaient venus où les représentans avaient rajeuni la nation ; où le germe des ver- tus venait d'éclore au premier jour de la li- berté ; où la génération nouvelle , animée de sentimens purs , nobles , et ...
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... tribune . Aux cris des députés , et ils étaient plus de mille , se joignaient ceux de plus de deux mille spectateurs , qui tous avaient été acteurs dans les scènes sanglantes de la révolution . Lorsque la salle retentissait de salves d ...
... tribune . Aux cris des députés , et ils étaient plus de mille , se joignaient ceux de plus de deux mille spectateurs , qui tous avaient été acteurs dans les scènes sanglantes de la révolution . Lorsque la salle retentissait de salves d ...
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Common terms and phrases
abbé assemblée assemblées nationales assignats attentats autorité avaient avez Bailliages Barnave blée Bouillé Brissot Camille Desmoulins catholique Cazalès Champ-de-Mars Charles de Lameth Châtelet citoyens civile clergé club des jacobins comité des recherches commettans comte constitution constitutionnel côté gauche crimes cris curé d'Orléans déclaration décret délibérations demande départemens députés devait devoir discussion duc d'Orléans ecclésiastique états-généraux eût évêques factieux faction famille royale Favras Fayette fédérés fidèles fureur gardes nationales habitans haine hommes idem jour l'as l'assem l'assemblée nationale l'autorité royale l'Eglise l'Etat L'évêque Lameth liberté lois Louis XVI Majesté Maury membres menaces ment Messieurs ministres Mirabeau monarchie monarque multitude n'avait nation Necker noblesse NOMS des Bailliages nouvelle officiers ordres outrages pasteurs pensée personne peuple porter pouvoir présente président principes provinces publique puissance réclamations religion représentans réunis révolution révolutionnaires royaume sacrée séance sentimens sera serment seul soldats Talleyrand tiers-état tion tribune trône Tuileries usurpé vainement Varennes voiture voix
Popular passages
Page 341 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits; ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 342 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 341 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 340 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 342 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution.
Page 341 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter .des ordres arbitraires, doivent être punis; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi, doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Page 340 - ... afin que les actes du pouvoir législatif et ceux du pouvoir exécutif pouvant être, à chaque instant, comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.
Page 340 - Les représentants du peuple français, constitués en ASSEMBLÉE NATIONALE, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration solennelle, les Droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme...
Page 342 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Page 342 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.