| Camille Desmoulins - France - 1825 - 412 pages
...son lit, d'où il s'était levé ; et j'ai reconnu distinctement la voix de Fabre d'Églantine. « Oui , je suis Fabre, m'at-il dit; mais toi ici! la...chambre à feu , et la mienne serait assez belle si un cachot pouvait l'être. Mais , chère amie! tu n'imagines pas ce que c'est que d'être au secret... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1825 - 410 pages
...sur son lit, d'où il s'était levé ; et j'ai reconnu distinctement la voix de Fabre d'Eglantine. «Oui, je suis Fabre, m'at-il dit; mais toi ici! la...chambre à feu, et la mienne serait assez belle si un cachot pouvait l'être. Mais, chère amie! tu n'imagines pas ce que c'est que d'être au secret... | |
| Camille Desmoulins - France - 1825 - 442 pages
...son lit, d'où il s'était levé ; et j'ai reconnu distinctement la voix de Fabre d'Églautine. « Oui, je suis Fabre, m'at-il dit; mais toi ici! la...chambre à feu, et la mienne serait assez belle si un cachot pouvait l'être. Mais, chère amie! tu n'imagines pas ce que c'est que d'être au secret... | |
| Camille Desmoulins - France - 1838 - 444 pages
...sur son lit, d'où ils'étoit levé , et j'ai reconnu distinctement la voix de Fabre d'Eglantine. « Oui, je suis Fabre, m'at-il dit ; mais toi ici ! la...la haine ne nous envie cette faible consolation, et quet si on vé*noit à nous entendre , nous ne fussions séparés et resserrés plus étroitement ;... | |
| Alphonse de Gisors - Palaces - 1847 - 302 pages
...son » lit, d'où il s'était levé, et j'ai reconnu distinctement la voix » de Fabre d'Eglantine. «Oui, je suis Fabre, m'at-il dit; » mais toi ici!...étroitement; car il a une chambre à feu, et la mienne se» rait assez belle , si un cachot pouvait l'être. Mais , chère » amie ! tu n'imagines pas ce... | |
| Alphonse de Gisors - Palaces - 1847 - 284 pages
...son » lit, d'où il s'était levé, et j'ai reconnu distinctement la voix » de Fabre d'Eglantine. «Oui, je suis Fabre, m'at-il dit; » mais toi ici!...étroitement ; car il a une chambre à feu, et la mienne se» rait assez belle, si un cachot pouvait l'être. Mais, chère » amie! tu n'imagines pas ce que... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 402 pages
...lit, d'où il s'était levé; et j'ai re» connu distinctement la voix de Fabre d'Eglantine. » — Oui, je suis Fabre, m'at-il dit, mais toi ici! La...consolation, et »que, si on venait à nous entendre, nous ne fus» sions séparés et resserrés plus étroitement ; car il » a une chambre à feu, et la mienne... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 622 pages
...j'ai reconnu distinctement la voix .1 de Fabre d'Églantine. — Oui, je suis Fabre, m'at-il dit, ii mais toi ici! La contre-révolution est donc faite?...Nous n'osons cependant nous parler, de peur que la « liaine ne nous envie cette faible consolation, et que, si on « venait à nous entendre , nous ne... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1848 - 406 pages
...Nous n'osons cependant nous parler, de peur » que la haine ne nous envie cette faible consola» tion, et que, si on venait à nous entendre, nous » ne...chambre à feu, et la mienne serait » assez belle si un cachot pouvait l'être. Mais tu » n'imagines pas ce que c'est que d'être au secret » sans savoir... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1848 - 406 pages
...et j'ai reconnu distinctement la voix » de Fabre d'Églantine. — Oui, je suis Fabre, m'a» t-il dit, mais toi ici! La contre-révolution est donc...de peur » que la haine ne nous envie cette faible consola» tion, et que, si on venait à nous entendre, nous » ne fussions séparés et resserres plus... | |
| |