Œuvres de Voltaire, Volume 63Lefèvre, 1840 |
From inside the book
Results 1-5 of 75
Page 24
... plaisir . M. Hennin signera après vous , non seulement le traité , mais l'établissement de la Comédie . Ce qui reste dans Genève de pédants et de cuistres du sei- zième siècle perdra ses mœurs sauvages : ils devien- dront tous Français ...
... plaisir . M. Hennin signera après vous , non seulement le traité , mais l'établissement de la Comédie . Ce qui reste dans Genève de pédants et de cuistres du sei- zième siècle perdra ses mœurs sauvages : ils devien- dront tous Français ...
Page 33
... plaisir , et je ne doute pas qu'elle n'ait beaucoup de succès auprès de tous ceux qui préfèrent les choses utiles et vraies aux romanesques . Je fais mon compliment à l'auteur , et je m'enorgueillis de lui appartenir de si près . Si ...
... plaisir , et je ne doute pas qu'elle n'ait beaucoup de succès auprès de tous ceux qui préfèrent les choses utiles et vraies aux romanesques . Je fais mon compliment à l'auteur , et je m'enorgueillis de lui appartenir de si près . Si ...
Page 52
... plaisir de vous dire com- bien votre ouvrage m'a paru excellent pour le fond et pour la forme . Cette consultation était bien plus difficile à faire que celle des Calas ; le sujet était moins tragique , l'objet de la requête moins ...
... plaisir de vous dire com- bien votre ouvrage m'a paru excellent pour le fond et pour la forme . Cette consultation était bien plus difficile à faire que celle des Calas ; le sujet était moins tragique , l'objet de la requête moins ...
Page 74
... plaisir de se perdre dans l'immen- sité , on ne se soucie guère de ce qui se passe dans les rues de Paris . L'étude a cela de bon qu'elle nous fait vivre tout doucement avec nous - mêmes , qu'elle nous délivre du fardeau de notre ...
... plaisir de se perdre dans l'immen- sité , on ne se soucie guère de ce qui se passe dans les rues de Paris . L'étude a cela de bon qu'elle nous fait vivre tout doucement avec nous - mêmes , qu'elle nous délivre du fardeau de notre ...
Page 78
... plaisirs . Ajoutez à cela des ames timides , des femmes peureuses ; et ce total compose la société . S'il se trouve donc un homme sur mille qui pense , c'est beaucoup . I « Vous écrazer le fanatisme . » ( Édition de Berlin . ) 2 L ...
... plaisirs . Ajoutez à cela des ames timides , des femmes peureuses ; et ce total compose la société . S'il se trouve donc un homme sur mille qui pense , c'est beaucoup . I « Vous écrazer le fanatisme . » ( Édition de Berlin . ) 2 L ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Adieu affaire assez aurait avez avocats beau Beaumont Beauteville bonté Boursier Calas Chabanon cher ami cher frère CHEVALIER DE TAULÈS choses citoyens Clairon cœur COMTE D'ARGENTAL conseil consolation crois d'Abbeville daignez Dalembert DAMILAVILLE demande en grace digne dire divins anges duc de Choiseul duc de Praslin eaux de Rolle Écr écrit Élie envoie êtes fanatisme Ferney fesait FRÉDÉRIC Fréret Genève Genevois gens Harpe Hennin Henri IV homme Hume imprimé j'aurais j'avais j'en jamais janvier Jean-Jacques juges l'abbé l'inf livre long-temps LXII m'avez madame Denis mademoiselle mademoiselle Clairon malheureux mandé mémoire ment mérite Meyrin monsieur n'ai ouvrage paquet parceque parle passer pays de Gex pense petit philosophes pièce plaisir prince Prusse raison respect rien Rousseau sais savez Scythes sentiments sera seul sieur Sirven Suisse supplie tendrement tragédie Tronchin trouve vérité Voilà Voltaire voudrais Voyez la lettre voyez lettre Voyez ma note voyez tome XLII
Popular passages
Page 91 - La personne à laquelle on me marie (dans les gazettes) est à la vérité une personne respectable par son caractère*, et faite, par la douceur et l'agrément de sa société, pour rendre heureux un mari ; mais elle est digne d'un établissement meilleur que le mien, et il n'ya entre nous ni mariage ni amour, mais de l'estime réciproque, et toute la douceur de l'amitié. Je demeure actuellement dans la même maison qu'elle, où il ya d'ailleurs dix autres locataires; voilà ce qui a occasionné...
Page 422 - Je sais attendre, et j'attendrai surtout que les vingt-quatre perruques*, qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, me rendent justice.
Page 273 - B. desirerais que les hommes fussent raisonnables , et surtout qu'ils fussent tranquilles. Nous connaissons les crimes que le fanatisme de religion a fait commettre. Gardons-nous d'introduire le fanatisme dans la philosophie ; son caractère doit être la douceur et la modération. Elle doit plaindre la fin tragique d'un jeune homme qui a commis une extravagance; elle doit démontrer la rigueur excessive d'une loi faite dans un temps grossier et ignorant ; mais il ne faut pas que la philosophie encourage...
Page 528 - Ils sont ensevelis sous la masse pesante Des monts qu'ils entassaient pour attaquer les cieux. Nous avons vu tomber leur chef audacieux Sous une montagne brûlante; Jupiter l'a contraint de vomir à nos yeux Les restes enflammés de sa rage expirante; Jupiter est victorieux , Et tout cède à l'effort de sa main foudroyante.
Page 522 - Votre majesté rendra un service éternel au genre humain en détruisant cette infâme superstition, je ne dis pas chez la canaille, qui n'est pas digne d'être éclairée et à laquelle tous les jougs sont propres; je dis chez les honnêtes gens, chez les hommes qui pensent, chez ceux qui veulent penser.
Page 309 - J'ai une troisième requête à vous présenter au sujet de ce Robinet qu'on dit être l'auteur de la Nature, et qui certainement ne l'est pas ; car l'auteur de la Nature sait le grec, et ce Robinet, l'éditeur de mes prétendues Lettres, cite dans ces Lettres deux vers grecs qu'il estropie comme un franc ignorant. On voit d'ailleurs dans le livre une connaissance de la géométrie et de la physique que n'a point le sieur Robinet. Enfin ce Robinet est un faussaire. Il est triste que de vrais philosophes...
Page 114 - Je crois que nous ne nous entendons pas sur l'article du peuple que vous croyez digne d'être instruit. J'entends par peuple la populace qui n'a que ses bras pour vivre.
Page 81 - C'est par vous que mon désert horrible a été changé en un séjour riant ; que le nombre des habitans est triplé ainsi que celui des charrues, et que la nature est changée dans ce coin qui était le rebut de la terre. Après ces bienfaits répandus sur moi, vous savez que je ne vous ai rien demandé que pour des Genevois; car que puis-je demander pour moi-même?
Page 262 - Vous avez des liens, des pensions, vous êtes enchaîné. Pour moi, je mourrai bientôt, et ce sera en détestant le pays des singes et des tigres où la folie de ma mère me fit naître il ya bientôt soixante et treize ans.
Page 384 - Tronchin le médecin de vouloir bien lui envoyer une ordonnance pour cette maladie. M. Tronchin me répondit, que puisqu'il ne pouvait pas me guérir de la manie de faire encore des pièces de théâtre à mon âge, il désespérait de guérir Jean Jaques. Nous restâmes l'un et l'autre fort malades chacun de notre côté.