Revue du Lyonnais, Volume 2L. Boitel., 1835 - Lyon (France) |
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ange année apud Bouquet archevêque de Lyon assez auteur avaient bonheur Boson Breghot du Lut Cagliostro cardinal cause célèbre Chalier chapelle château chose citoyens cœur collège comte Conrad conserver Consulat Coysevox date devant Dieu Dis-moy discours docteur donner duc de Mayenne duc de Nemours échevins enfans esté évêque femme François François Ier frère gouvernement gouverneur habitans Hist Histoire de Lyon hommes Hugues imprimé imprimeurs j'ai Jacob Spon Jean jésuite jour jugement l'abbé l'an l'archevêque l'église Lamourette liberté livres loge Lothaire Louis Louis XIII maison maladie Mandelot médecin ment mois mort mourut nombre ouvrages pages passé pendant père Pétrone peuple Philibert De Lorme Pierre place porte premier préparations de charcuterie prince province publié règne religieuses religion reste Rhône Rhône-et-Loire royale royaume Rubys saint Saône seigneur séjour sera seul siècle sœur souvenirs d'amour souvent St-Nizier statue Stradivarius suivant tion tombeau troupes trouve VIII Voyez
Popular passages
Page 212 - Discours sur l'exposition des principes de la constitution civile du clergé , par les évêques députés à l'assemblée nationale...
Page 153 - Discours sur les Médailles d'Auguste et de Tibère, au revers de l'Autel de Lyon ; suivi d'un mémoire sur les recherches d'une statue équestre faites dans le mois de Nov.
Page 262 - ... dignité; Dieu veut qu'on le respecte : bientôt voilà une puissance; Dieu veut qu'on lui obéisse; le dépositaire de cette puissance en abuse-t-il, c'est la verge dont Dieu punit ses enfants.
Page 210 - Pensées sur la philosophie de la foi ou le Système du Christianisme entrevu dans son analogie avec les idées naturelles de l'entendement humain, 1789, in-ia.
Page 440 - ... par la douceur de son caractère, par la sûreté de son commerce et par sa modestie et sa candeur. Il était ull.ilile, officieux, prévenant, et faisait les délices des bonnes compagnies.
Page 187 - Barry, de notre Société ; car je ne dis jamais rien de moi-même. — Quel livre, lui dis-je, mon Père ?—En voici le titre, me dit-il : Le Paradis ouvert à Philagie par cent dévotions à la mère de Dieu, aisées à pratiquer.
Page 205 - J.-C., notre Sauveur ; je déclare que je me repens de tout mon cœur, de tout ce que j'ai dit, fait et écrit, tendant à appuyer les principes d'après lesquels on a fait en France des changements qui sont devenus si funestes à la Religion, et par conséquent au véritable bonheur des Français.
Page 186 - Le Lys sacré , justifiant le bonheur de la piété par divers parangons du lys avec les vertus et les miracles du roi S.
Page 231 - Les jours suivants furent faictes « plusieurs resjouissances en la ville, et entr'autres une « charavary ou chevauchée de l'asne contre les maris qui « s'estoyent laissés battre à leurs femmes, qui fut chose « fort plaisante à voir et fut de l'invention d'un nommé « Jean Perron, imprimeur et l'un des gardes du maître « des ports, homme fort facétieux et propre pour telles
Page 115 - II est mort pour la patrie, et nous sommes assemblés pour célébrer sa gloire et pour jurer de l'imiter, et dans cette ville régénérée et dans ces murs purifiés , nous avons voulu donner à cette cérémonie d'un peuple nouveau, le dôme céleste pour voûte , les astres pour flambeaux et la Liberté pour pontife. « Etre suprême, ce culte est digne de toi; point d'intermédiaire entre l'homme et la divinité. Le cœur du juste est Ion temple; l'encens qui le contient, c'est le parfum de...