...delà littérature française, il faut passer sous silence. On a retranché, à l'impression de cette pièce et à la seconde représentation , plusieurs...l'offense. On a hué le valet, qui disait, en volant sou maître ; « Je » deviens philosophe ». On a été offensé par ces deux beaux vers qui terminaient...

...la littérature française, il faut passer sous silence. On a retranché, à l'impression de cette pièce et à la seconde représentation, plusieurs...valet, qui disait, en volant son maître : " Je deviens philo" sophe." On a été offensé par ces deux beaux vers qui terminaient la pièce : .Enfin, tout...

...la littérature française, il faut passer sous silence. On a retranché, à l'impression de cette pièce et à la seconde représentation, plusieurs...endroits qui avaient trop choqué à la première. Le pubjic n'est pas conséquent. C'est le mot et non pas la chose qui l'offense. On a hué le valet qui...

...la littérature française, il faut passer sous silence. On a retranché, à l'impression de cette pièce et à la seconde représentation, plusieurs...Enfin tout philosophe est banni de céans, Et nous no vivrons plus qu'avec d'honuêtes gens. Je ne sais pourquoi : car, puisqu'on a pu supporter le fond...

...la littérature française, il faut passer sous silence. On a retranché, à l'impression de cette pièce et à la seconde représentation, plusieurs...maître : « Je deviens philosophe. » On a été oflensé par ces deux beaux vers qui terminaient la pièce : Enfin tout philosophe est banni de céans,...

...philosophe. « Les deux vers qui terminaient la pièce suffisaient à la caractériser : « I1 nfiti (oui philosophe est banni de céans, Et nous ne vivrons plus qu'avec d'honnêtes gens. > » Voilà une vilaine époque, écrivait Voltaire, seul épargné dans cette honteuse satire. La...

...deux derniers vers que Palissot eut la pudeur de retrancher, mais qu'il rétablit à l'impression : Enfin tout philosophe est banni de céans, Et nous ne vivrons plus qu'avec d'honnêtes gens. Au cours de la pièce, les philosophes sont réunis, et commencent à se dire d'assez dures vérités,...

...faisait son entrée à quatre pattes. La comédie, du reste peu comique, se terminait par ces deux vers : Enfin tout philosophe est banni de céans Et nous ne vivrons plus qu'avec d'honnêtes gens. Ce déchaînement, que favorisait la cour, se produisait sous toutes les formes. Le Journal de Trévoux,...

...où un valet volant son maître dit : « Je deviens philosophe « , et qui se termine par ces vers : Enfin tout philosophe est banni de céans, Et nous ne vivrons plus qu'avec les honnêtes gens. Voltaire avait écrit plus courtoisement , en réponse à un envoi courtois du...

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