...mienne, et je le voyais peuplé d'ombres plaintives destinées à renaître un jour sur la terre... Ma chambre est à l'extrémité d'un corridor habité...journée. Mes regards s'arrêtent avec plaisir sur un noyer touffu et sur deux mûriers de la Chine. Au-dessus, l'on aperçoit vaguement une rue assez...

...n'est autre que celle qu'il occupait à Montmartre chez le I ) Blanche. « Ma chambre, écrivait-il, est à l'extrémité d'un corridor, habité d'un côté...journée. Mes regards s'arrêtent avec plaisir sur un noyer touffu et sur deux mûriers de la Chine. Au-dessus, l'on aperçoit vaguement une rue assez...

...à décrire la chambre qu'il occupe à Passy et, tout naturellement, il emploie le présent : « La chambre est à l'extrémité d'un corridor habité...et de l'autre par les domestiques de la maison... etc. » Et à la fin de la deuxième partie, dans des pages qui semblent jetées au hasard, il écrit...

...l'extrémité d'un corridor habité à l'un des côtés par les fous, et de l'autre par les dômestiques de la maison. Elle a seule le privilège d'une fenêtre,...journée. Mes regards s'arrêtent avec plaisir sur un noyer touffu et sur deux lauriers de la Chine. Au-dessus, l'on aperçoit vaguement une rue assez...

...pages, tant le désordre et la souffrance y sont expliqués d'une simple et éloquente façon : « Ma chambre est à l'extrémité d'un corridor habité...« d'un côté par les fous, et de l'autre par les do« fflestiques de la maison. Elle a seule Fe privilège « ¿Pune fenêtre, percée du côté de...