Mercure de France au dix-neuvième siècle1792 |
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... avoir un peu de- vancé l'âge . Ce n'étaient point les fruits précoces de l'efprit & de la raifon ' ;, mais c'en était déjà la fleur : celle de fa béauté ; fans être épanouie , brillait d'un éclat ra- villant . De tels voifins étaient ...
... avoir un peu de- vancé l'âge . Ce n'étaient point les fruits précoces de l'efprit & de la raifon ' ;, mais c'en était déjà la fleur : celle de fa béauté ; fans être épanouie , brillait d'un éclat ra- villant . De tels voifins étaient ...
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... avoir épuifé , on fe regrette , on a befoin de fe revoir , pour l'épuifer encore . Séfalve , l'homme aimable dont je vous ai parlé , flatré que c'eût été chez lui qu'ils euffent lié connaiffance , mit de l'empref- fement à les y attirer ...
... avoir épuifé , on fe regrette , on a befoin de fe revoir , pour l'épuifer encore . Séfalve , l'homme aimable dont je vous ai parlé , flatré que c'eût été chez lui qu'ils euffent lié connaiffance , mit de l'empref- fement à les y attirer ...
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... avoir vu ; enfin je veux aufli que fans la voir il la préfére à tout ce qu'il aura vu de plus beau dans le monde ; c'eft- là , je crois , le feul moyen de s'affurer d'une inclination durable . Rien n'eft fi féduifant & fi trompeur que ...
... avoir vu ; enfin je veux aufli que fans la voir il la préfére à tout ce qu'il aura vu de plus beau dans le monde ; c'eft- là , je crois , le feul moyen de s'affurer d'une inclination durable . Rien n'eft fi féduifant & fi trompeur que ...
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... que nous faifons enfemble , je ne n'étonne pas , qu'en avançant en âge tu n'en fois plus auffi paflionnément épris : je fais même la caule de ton inquiétude & de l'ennui dont tu te plains ; mais je crois avoir découvert le 1 MERCURE 112.
... que nous faifons enfemble , je ne n'étonne pas , qu'en avançant en âge tu n'en fois plus auffi paflionnément épris : je fais même la caule de ton inquiétude & de l'ennui dont tu te plains ; mais je crois avoir découvert le 1 MERCURE 112.
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tu te plains ; mais je crois avoir découvert le moyen de les difliper . . - J'ai pour amie , dans la Province , une veuve riche & bien née , qui , n'ayant qu'une fille unique & un peu plus jeune que toi , l'éleve avec le plus grand foin ...
tu te plains ; mais je crois avoir découvert le moyen de les difliper . . - J'ai pour amie , dans la Province , une veuve riche & bien née , qui , n'ayant qu'une fille unique & un peu plus jeune que toi , l'éleve avec le plus grand foin ...
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Common terms and phrases
10 août accufe adminiftrateurs adreffe affemblées affez affurer ainfi annonce août armées Arthur Dillon auffi avoient avoit barre bataillons befoin c'eft C'eſt camp caufe ceffe Charade chofe Choudieu citoyens comité de furveillance commiffaires commiffion extraordinaire compofé confidérant confpirateurs conftitution convention nationale corps légiflatif déclare départemens département députés difpofitions diftrict directoire efprit ennemis eſt étoient étoit falut fans fauver Fayette féance du foir fecond fecours fection fédérés femblée fent fera ferment feront fervice fervir feul figner foit foldats fommes font fous François frontières fuccès fufpenfion fuivant garde nationale guerre hommes Jéfuites jufqu'à juftice juges l'Affemblée nationale l'armée Lafayette laiffer lettre liberté lifte civile loix Longwi Louis XVI Luckner Majefté maréchal Luckner mefures ment miniftre municipalité n'eft nation néceffaire officiers paffe patrie perfonnes Pétion peuple plufieurs pofte pouvoir exécutif préfident propofe provifoire raifon refpect refponfables refte s'eft Sedan Suiffes sûreté tion toyens tribunal troupes сс
Popular passages
Page 105 - Je viens , au nom de la commission extraordinaire, vous présenter une mesure bien rigoureuse ; mais je m'en rapporte à la douleur dont vous êtes pénétrés, pour juger combien il importe au salut de la patrie que vous l'adoptiez sur-le-champ. « L'Assemblée nationale , considérant que les dangers de la patrie sont parvenus à leur comble ; « Que c'est pour le Corps législatif le plus saint des devoirs d'employer tous...
Page 153 - ... politiques lui imposent, dénaturer les faits les mieux constatés, et fermer les yeux sur la conduite du gouvernement actuel de France, personne , sans doute , ne pourra disconvenir que les mesures guerrières auxquelles...
Page 123 - ... pouvoir qui convient au souverain ; si vous créez un autre pouvoir qui domine ou balance l'autorité des délégués immédiats du peuple...
Page 183 - Nous gardons le silence ; mais c'est que le rompant trop tôt, nous vous compromettrions : mais nous parlerons dès que nous serons sûrs de l'appui général, et ce moment est proche. Si l'on nous parle de la part de ces gens-là, nous n'écouterons rien; si c'est de la vôtre, nous écouterons, mais nous irons droit notre chemin ; ainsi, si l'on veut que vous nous fassiez dire quelque chose, ne vous gênez pas.
Page 142 - C'est au milieu d'une guerre étrangère, c'est au moment où des armées nombreuses se préparent à une invasion formidable , que nous appelons les citoyens à discuter dans une paisible assemblée les droits de la liberté. Ce qui eût été téméraire chez un autre peuple , ne nous a point paru...
Page 85 - J'ai accepté la Constitution: la majorité de la nation la désirait; j'ai vu qu'elle y plaçait son bonheur, et ce bonheur fait l'unique occupation de ma vie. Depuis ce moment, je me suis fait une loi d'y être fidèle, et j'ai donné ordre à mes ministres de la prendre pour seule règle de leur conduite.
Page 85 - J'ai dû travailler au bonheur du peuple ; j'ai fait ce que j'ai dû, c'est assez pour le cœur d'un homme de bien. Jamais on ne me verra composer sur la gloire ou les intérêts de la nation, recevoir la loi des étrangers ou celle d'un parti : c'est à la nation que je me dois ; je ne fais qu'un avec elle : aucun intérêt ne...
Page 112 - L'Assemblée nationale, considérant qu'elle n'a pas le droit de soumettre à des règles impératives l'exercice de la souveraineté dans la formation d'une Convention nationale...
Page 72 - C'est par ces raisons que je requiers et exhorte tous les habitants du royaume, de la manière la plus forte et la plus instante, de ne pas s'opposer à la marche et aux opérations des troupes que je commande, mais de leur accorder plutôt partout une libre entrée et toute bonne volonté, aide et assistance que les circonstances pourront exiger. Donné au quartier général de Coblentz, le 25 juillet 1792. Signé: ClIARLKS-GiJILLAUME FERDINAND, dltcde Brunswick-Lvnebourg. ASSEMBLÉE NATIONALE LÉGISLATIVE....
Page 135 - France était attaquée, et le soin de maintenir sa tranquillité intérieure confié à celui dont les intérêts étaient le prétexte de tous les troubles? A ces motifs communs à la France entière, il s'en unissait d'autres particuliers aux habitants de Paris.