Affaires de Bretagne et de Paris, Volume 2

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1765
 

Common terms and phrases

Popular passages

Page 32 - Poison, sont non - seulement les plus détestables et les plus dangereux de tous , mais encore les plus difficiles à découvrir...
Page 60 - ... premier qui m'a attribué ces billets (remarquez bien que je dis le premier) était un fou ou un fripon. Il ya des notions communes pour juger les hommes comme pour juger les choses. On ne commence pas à soixante ans à faire des folies et à commettre des crimes, quand on a vécu en homme sensé et qu'on a toujours joui d'une bonne réputation. Je n'ai jamais violé l'ordre public ni les lois, grâce à Dieu; je ne suis pas tombé en enfance ni en démence. Personne ne m'ajamais vu ivre un...
Page 1 - Novembre 1766) fe trouve aflurée dans ces termes de l'exorde. a. Il ya aujourd'hui un an révolu , que nous fommes dans les fers , & ce temps n'a pas fuffi. à des accufateurs tout puifftins pour nous trouver des crimes.
Page 47 - Ogier fit de nouvelles instances. Ce qui blessait la noblesse, c'était l'admission fondée sur le plus ou moins d'ancienneté d'origine, d'autant plus qu'on arrivait ainsi à exclure les sujets les plus capables et les plus utiles7.
Page 68 - VM tous les parlements de votre royaume; ils ont tous encouru également la haine des ennemis de tout bien en proscrivant cette société...
Page 51 - Les représentations furent supprimées par arrêt du 14 juillet, et cette fois encore l'opposition répondit au réquisitoire en le parodiant presque mot à mot : Encore un libelle ! morbleu ! Tout le monde s'en fait un jeu : La matière est inépuisable...
Page 56 - Lui interdire la faculté de se justifier pendant qu'on le calomnie, c'est lui lier les mains. « Oter la liberté à un citoyen dans un cas où la loi ne la lui ôte pas, c'est un crime capital. « Oter la liberté à un citoyen pour satisfaire sa haine, c'est un crime capital. « Oter la liberté à un citoyen pour l'empêcher de se plaindre d'une accusation qu'on a intentée contre II.
Page 39 - C'est de la délation pure... Quand il reçut la lettre et les billets anonymes, il les envoya, suivant l'usage des ministres qui évitent les juges ordinaires, à l'intendant, qui chargea Audouard de faire des recherches. Celui-ci me fit, par reconnaissance, l'amitié de m'attribuer les billets...
Page 47 - R le compte qui a été rendu au Roi en fon Confeil des Repréfentations des Etats de la Province de Bretagne , concernant les art.

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