Revue des deux mondesAu bureau de la Revue des deux mondes., 1925 |
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Abd-el-Krim Aïn-Mahdi Alfred de Vigny Allemands anglais Arabes assez Auguste Lumière avaient beau Bessans Bonneval c'était Carlotta Monti catholique Charles Derennes CHARLOTTE Chateaubriand Chavert chef Cheik chose Christophore cœur colloïdale colloïdes commandant confrérie Courdane d'Aïn-Mahdi Delphine devant Dieu diplomatie dire donner États-Unis eût faisait femme fille floculation française frère Gaulois général Gouvernement guerre Guizot Henry Bordeaux Herriot homme j'ai j'avais jamais jeune Josette jour Kouzmitchov l'Allemagne l'Écot Laghouat laissé Lénine Léontine lettre Maliveau mariage ment Michel Gallice Milio ministre Mme Aurélie Mme Tedjani mokaddem monde monsieur montagne mort n'avait n'était nationale officiers parler passé pays pensée père petite peuple peut-être plan Dawes politique porte poste pouvait premier prince Prusse qu'un raison religieuse religion RENÉ DOUMIC reste Rhénanie rien Ronsard s'est s'était Salonique savait semble sentiment serait seulement Sid-Ahmed social Société des nations sœur soir sorte sous-marin surtout Tedjani Temacin tion trouve Victor Hugo Vimines yeux zaouïa
Popular passages
Page 570 - Que peu de temps suffit pour changer toutes choses ! Nature au front serein, comme vous oubliez ! Et comme vous brisez dans vos métamorphoses Les fils mystérieux où nos cœurs sont liés...
Page 111 - La France, instruite par ses malheurs, a ouvert enfin les yeux; elle a reconnu que la Religion catholique était comme une ancre qui pouvait, seule, la fixer dans ses agitations et la sauver des efforts de la tempête; elle l'a en conséquence rappelée dans son sein. Je ne puis pas disconvenir que je n'aie beaucoup contribué à cette belle œuvre.
Page 87 - Il n'ya que votre illustre souveraine qui ait raison ; elle paye les prêtres, elle ouvre leur bouche et la ferme ; ils sont à ses ordres, et tout est tranquille.
Page 89 - Helvétius était un intrigant, un misérable bel esprit, un être immoral, un des plus cruels persécuteurs de ce bon J.-J. Rousseau, le plus digne de nos hommages. Si Helvétius avait existé de nos jours, n'allez pas croire qu'il eût embrassé la cause de la liberté ; il eût augmenté la foule des intrigants beaux esprits qui désolent aujourd'hui la patrie (les Girondins.— R.).
Page 110 - Nulle société ne peut exister sans morale; il n'ya pas de bonne morale sans religion ; il n'ya donc que la religion qui donne à l'Etat un appui ferme et durable.
Page 102 - La philosophie manque à la fois de tendresse avec l'infortuné, et de magnificence avec le pauvre. Chez elle, les misères de la vie ne sont que des maux sans remède, et la mort est le néant; mais la religion échange ces misères contre des félicités sans fin, et, avec elle, le soir de la vie touche à l'aurore d'un jour éternel.
Page 276 - J'avais rugi en me retirant des affaires; M. de Villèle se coucha : il eut la velléité de rester à la Chambre des députés; parti qu'il aurait dû prendre, mais il n'avait ni une connaissance assez profonde du gouvernement représentatif, ni une autorité assez grande sur l'opinion extérieure, pour jouer un pareil rôle : les nouveaux ministres exigèrent son...
Page 284 - Si tu te laissais aller aux caprices où tombe quelquefois l'imagination d'une jeune femme, le jour viendrait où le regard d'un jeune homme t'arracherait à ta fatale erreur ; car même les changements et les dégoûts arrivent entre les amants du même âge. Alors, de quel œil me verrais-tu, quand je viendrais à t'apparaître...
Page 303 - ... j'étais enseveli sous un amas de billets parfumés; si ces billets n'étaient aujourd'hui des billets de grand'mères, je serais embarrassé de raconter avec une modestie convenable comment on se disputait un mot de ma main, comment on ramassait une enveloppe suscrite par moi, et comment, avec rougeur, on la cachait, en baissant la tête, sous le voile tombant d'une longue chevelure.
Page 104 - Ce n'est point assurément une opinion intolérante; je n'ai pas besoin de répéter que je hais toute persécution dans mon cœur autant que je la méprise par mon esprit; mais je dis d'abord aux républicains qu'il n'existe que ce moyen de détruire l'influence de la religion catholique.