| Henry Essex Edgeworth de Firmont - France - 1815 - 236 pages
...des commissaires qui était venu l'interrompre , il rentra dans le cabinet, et me dit en souriant :« Ces gens-là « voient partout des poignards et du...connaissent bien « mal! — Me tuer serait une faiblesse; « — non , puisqu'il le faut , je saurai « bien mourir. » Enfin on frappa à la porte pour la dernière... | |
| Henry Essex Edgeworth de Firmont, C. Sneyd Edgeworth - France - 1815 - 238 pages
...venu l'interrompre, il rentra dans le cabinet, et me dit en souriant, " Ces gens" là voyent par tout des poignards et du poison. Ils " craignent que je ne me tue : Hélas ! ils me con" noissent bien mal : — me tuer serait une faiblesse ; " — non, puisqu'il le faut, je saurai... | |
| Jean Baptiste C. Hanet-Cléry - 1823 - 356 pages
...l'interrompre, il rentra dans le cabinet et me dit en souriant : (( Ces gens-là voient partout des poi» gnards et du poison ; ils craignent que je ne » me tue. Hélas ! ils me connaissent bien mal j >> me tuer serait une faiblesse : non , puisqu'il « le faut, je saurai mourir. » Enfin on frappe... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1825 - 372 pages
...commissaires qui étaient venus l'interrompre, il rentra dans le cabinet et me dit en souriant : t< Ces gens-là voient partout des poignards et du »...connaissent bien mal ; me tuer serait une » faiblesse : non, puisqu'il le faut, je saurai » mourir. » Enfin on frappe à la porte pour la dernière fois... | |
| 1825 - 358 pages
...commissaires qui étaient venus l'interrompre, il rentra dans le cabinet et me dit en souriant : « Ces gens-là voient partout des poignards et du »...connaissent bien mal ; me tuer serait une » faiblesse : non, puisqu'il le faut, je saurai » mourir. » Enfin on frappe à la porte pour la dernière fois... | |
| Cléry (M.) - France - 1825 - 368 pages
...commissaires qui étaient venus l'interrompre, il rentra dans le cabinet et me dit en souriant : if Ces gens-là voient partout des poignards et du »...connaissent bien mal ; me tuer serait une » faiblesse : non, puisqu'il le faut, je saurai » mourir. » Enfin on frappe à la porte pour la dernière fois... | |
| France - 1847 - 478 pages
...l'interrompre, il rentra dans le cabinet, et me dit en souriant : « Ces gens-là voient partoutdes poignards et du poison ; ils craignent que je ne me...connaissent bien mal : me tuer serait une faiblesse. Non, puisqu'il le faut, je saurai mourir. » Enfin on frappe à la porte pour la dernière fois : c'était... | |
| Cléry (M.) - France - 1847 - 500 pages
...rentra dans le cabinet, et me dit eu souriant : « Ces gens-là voient partout des poignards etdupoisou; ils craignent que je ne me tue. Hélas! ils me connaissent bien mal : me tuer serait une faiblesse. Mon, puisqu'il le faut, je saurai mourir. » Enfin on frappe à la porte pour la dernière fois : c'était... | |
| Alcide Beauchesne - France - 1866 - 658 pages
...entendu les paroles de Mercereau, il se contente de lui dire : « Vous voyez comme ces gens-là me traitent; mais il faut savoir tout souffrir..» Quelques...Hélas ! ils me connaissent bien mal ! Me tuer serait un crime ; j'aurai la force de bien mourir. » Deux municipaux disent alors à Cléry qu'il faut se... | |
| Alcide-Hyacinthe Du Bois de Beauchesne - 1866 - 618 pages
...'entendu les paroles de Mercereau , il se contente de lui dire : « Vous voyez comme ces gens-là me traitent ; mais il faut savoir tout souffrir. » Quelques...Hélas! ils me connaissent bien mal! Me tuer serait un crime; j'aurai la force de bien mourir. » maître, à qui cet office fait par le bourreau répugnait,... | |
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