Annales, Volumes 24-251853 - Loire-Atlantique (France) |
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1er mars Anizon années assez associés avaient avons bienfaisance Bret Bretagne Bretons Bureau carbonifère chanson charge charité Chevas choses collègue Colombel Comité central commerce Commission Compagnonnage compagnons compagnons du Devoir Conseil considérable Département entier devoir dispensaires docteur domicile donner duc de Mercœur dudit effet enfants époque Éric Bernard établir février Foulon Franc-Maçonnerie François Ier gavots général Grelier hectolitres hommes houille janvier jours de tonnerre l'avortement l'Hôtel-Dieu ladite Compagnie Lefeuvre lesdits Letenneur lettres Loire Loire-Inférieure Louis XII maître Jacques malades Malherbe médical membre résidant mémoire ment menuisiers Mercœur Messieurs mois Morbihan moyen municipale Nantes novembre observations octrois Ogée Orage Ouragan ouvriers paroisse passé pauvres porte premier présente président province raison rapport registres Rennes Renoul Rouxeau Saint-Nicolas Sanzay science séance secours Secrétaire Section de Médecine serait seulement Société Académique sorte souvent suivant sujet surtout tailleurs de pierre terrain tion titre Total des tempêtes travail trouve vent XVIe siècle
Popular passages
Page 62 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 15 - Et son teint au vôtre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las ! las ! ses beautés laissé choir ! O vraiment marâtre nature, Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur, la vieillesse Fera ternir votre beauté.
Page 11 - N'a cy de moi que la moitié ; Une part te reste, elle est tienne ; Je la fie à ton amitié, Pour que de l'autre il te souvienne.
Page 9 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles: On a beau la prier; La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois.
Page 15 - Lors vous n'aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de mon nom ne s'aille réveillant, Bénissant votre nom de louange immortelle. Je serai sous la terre, et fantôme sans os Par les ombres myrteux je prendrai mon repos ; Vous serez au foyer une vieille accroupie Regrettant mon amour et votre fier dédain. Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain: Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie!
Page 18 - Mais, dites-moi, que signifie Que les ligueurs ont double Croix? C'est qu'en la Ligue on crucifie Jésus-Christ encore une fois.
Page 485 - Annales des Sciences Physiques et Naturelles d'Agriculture et d'Industrie, publiées par la Société Impériale d'Agriculture, etc., de Lyon. 3
Page 14 - Reverrai-je le clos de ma pauvre maison , Qui m'est une province et beaucoup davantage! Plus me plaît le 'séjour qu'ont bâti mes aïeux Que des palais romains le front audacieux ; Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine , Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin , Plus mon petit Lire que le mont Palatin , Et plus que l'air marin la douceur angevine.
Page 12 - Des doux rets, Pour ravir Flore la belle. Avril, c'est ta douce main Qui du sein De la nature desserre Une moisson de senteurs, Et de fleurs, Embasmant l'Air et la Terre.
Page 14 - Plus me plaist le séjour qu'ont basty mes ayeux, Que des palais romains le front audacieux : Plus que le marbre dur, me plaist l'ardoise fine. Plus mon Loyre gaulois, que le Tybre latin, Plus mon petit Lyre, que le mont Palatin Et plus que l'air marin, la douceur angevine.