L'Esprit des journaux, françois et étrangers, Issue 11

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Valade, 1786 - Periodicals
 

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Popular passages

Page 289 - Tout annonce d'un Dieu l'éternelle existence; On ne peut le comprendre, on ne peut l'ignorer. La voix de l'univers annonce sa puissance, Et la voix de nos cœurs dit qu'il faut l'adorer.
Page 304 - M. le directeur a lu cet extrait du procès verbal drefle fur les lieux. » Le 16 juin, fur les deux heures après. » midi , une pluie abondante força un grand » nombre des habitans de Reffons , qui étoient » répandus dans la campagne, de chercher un » abri. Ils coururent vers le village ; mais une » vallée large de 3 à 400 pieds qu'il falloir » traverfer , étoit couverte par les eaux. Un » pont placé fur le chemin , ne pouvoit plus » être apperçu ; ces habitans forment une chai.
Page 313 - S'il n'ya pas de récépifle du Secrétaire, le Tréforier ne délivrera le Prix qu'à l'Auteur même qui fe fera connoître, ou au porteur d'une procuration de fa part.
Page 186 - ... ne peuvent pas en arrêter le cours. On fe borne à déplorer les maux de tout genre dont elle eft la caufe , fans ofer prendre les voies de rigueur , les feules capable! de détruire le mal dans fa fource & d'en arrêter les progrès. » Les ordonnances qui ont été rendues par les maire & jurats...
Page 2 - Noyers, vis-à-vis Saint-Yves, pour toute la France, au prix de 27 liv. pour Paris, & de 33 pour les Provinces, rendu franc de port par-tout le Royaume. A Nancy, chez Matthieu, Lib.
Page 190 - Etre ordonné que toutes femmes , filles étrangères, n'ayant aucune profeffion connue, mais défignée fous le nom de femmes du monde ; feront tenues de vuider la ville & banlieue dans trois jours , au plus tard ; après la publication de l'arrêt qui interviendra , à peine de punition...
Page 12 - » oui , ma tante , je vous honore plus que le » pape , & j'aime ma fœur plus que je ne le » crains. Je ne fuis pas huguenot ; mais je ne » fuis pas fot non plus. Si monfieur le pape n fait trop la bête , je prendrai moi.même Mar~ M got par la main , & la menerai époufer en
Page 258 - ... militaire. Cependant l'efpace qui renfermoit un fi grand nombre d'animaux , devenant de jour en jour plus petit , & les bêtes féroces ne pouvant plus guere s'écarter , elles s'élançoier.t fur les plus foibles Si...
Page 257 - ... jufqu'aux lapins que l'on ne forçât de fortir de leurs trous avec des furets. Enfin le terrain ordinaire leur manquant , peu-à-peu les diverfes efpeces fe mêlerent les unes avec les autres. Il y eut des animaux qui devinrent furieux , & qui donnerent beaucoup d'exercice. Ce ne fut qu'après des peines extraordinaires , que les cris des foldats & les fons de piuficurs inilrumens les forcerent à s'é"carter.
Page 237 - Il tenta de concourir pour lé grand prix de l'académie , mais fans fuccès. Honteux & prefque découragé , il n'ofoit plus retourner à l'académie. Il. s'arrangea avec un compagnon de la même infortune , & fit avec lui , à pied, le voyage d'Italie , fans favoir comment il fubfifteroir ; mais voir l'Italie , la véritable école des artt , admirer les monumens précieux de l'antiquité , perfectionner fon talent , c'étoit tout pour lui ; l'indigence n'étoit rien.

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