Révolutions de Paris: dédiées à la nation et au district des Petits Augustins, Volume 1Prudhomme, 1790 - France |
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annoncé août armes arrêté arrivé auroit auſſi avant avoient avoit avons ayant Baſtille bleds c'eſt capitale cent chargé citoyens comité commune comte conduit corps cour d'autres d'être déclaration décret demande députés Détails devoir dire diſtrict doit donner doute effet enfin eſt étoient étoit fans Fayette fera font force forme François garde nationale général gens grains heures hommes Introd j'ai jour juge Juillet l'aſſemblée nationale l'état l'ordre l'un lettre liberté libre lieu livres Louis mains malheureux marche marquis membres ment militaire mille motion moyens municipalité n'en n'eſt nation Necker nombre nommé nouvelle officiers ordre parlement patrie patriotique perſonnes peuple place pluſieurs police porte pouvoir premier prince projet provinces public publique qu'un quatre rendre repréſentans révolution rien royal s'eſt s'il ſans ſera ſeroit ſes ſoir ſoit ſoldats ſon ſont ſous ſur tête tion troupes trouvé Verſailles vient ville
Popular passages
Page 38 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 5 - ... se sont portés partout en plusieurs divisions, pour livrer au pillage les maisons dont les maîtres sont regardés comme les ennemis du bien public. On sent bien que ce prétendu patriotisme n'était que le manteau du crime et du vol. Des citoyens , mêlés exprès avec eux, les ont contenus. On s'est fait délivrer les canons des gardes et les drapeaux de la ville. On a forcé les boutiques des armuriers. Les prisons ont été ouvertes , la maison de St.
Page 70 - Le peuple a sévi sur quelques tètes soupçonnées ou coupables. Nous ne prétendons point autoriser la sanguinaire vengeance ; nous espérons au contraire que désormais la loi seule prononcera la peine. Mais, pour s'en rapporter aux...
Page 24 - ... que. le bonheur des particuliers dépendent essentiellement de l'exacte observation des lois. La violence ne peut jouir qu'un moment de ses succès et de ses prospérités criminelles : on s'élève bientôt de toutes parts contre elle, et les hommes qui rompent le pacte social, ce fondement de la tranquillité publique, en reçoivent tôt ou tard la. peine inévitable. Nulle part les fortunes ne...
Page 24 - ... craint d'avouer. Enfin, pour augmenter la confusion et réunir tous les malheurs, une contrebande, soutenue à main armée, détruit avec un progrès effrayant les revenus de l'État et tarit les ressources destinées ou au payement des dettes les plus légitimes, ou à la solde des troupes de terre et de mer, ou aux diverses dépenses qu'exige la sûreté publique.
Page 3 - H ya long-temps que les droits de l'homme seroieixt réhabilités, sans l'épais tissu dont les prêtres de tous les Dieux ont voilé la raison, ou la stupeur dont ils l'ont frappée. S'il s'est trouvé des téméraires qui les aient blessés en raisonnant, ils ont crié à l'impiété , au sacrilège; et l'on sait combien terrible a été ce cri de guerre. Dans l'Inde encore, et ailleurs, leur palladium est intact. Mais l'Europe est enfin persuadée que l'homme n'est point naturellement impie ;...
Page 32 - XV , prononcèrent que ceux qui feraient des souliers au-dessous du prix convenu seraient chassés hors du royaume. Mais rien n'égalait l'anarchie des districts; tous avaient un comité permanent , un comité de police , un comité militaire , un comité civil , un comité de subsistances. Chaque comité était muni de son président, de son vice -président, de ses secrétaires: chaque district s'attribuait le pouvoir législatif; chaque comité le pouvoir exécutif.
Page 16 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant ; il se rend coupable par la résistance.
Page 15 - La loi n'a le droit de défendre que les a&ions nuifîbles à la fociété. Tout ce qui n'eft pas défendu par la loi ne peut être empêché, &: nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 15 - ... que la politique doit d'abord travailler dans une république corrompue. A leur tête est ce vice dont je ne sais pas le nom , monstre à deux corps , composé...