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JOURNAL

DE

CHIMIE MÉDICALE.

TOME DEUXIÈME. 5ine SÉRIE

10218

MM. BALARD, à PARIS.
BLONDEAU, à PARIS.
BOSSON, à MANTES.
BOUIS, à PERPIGNAN.
BOUTIGNY (d'Evreux), à
PARIS.

BRANDES fils, à SALZUFLEN.
CANTU, à Turin.

CAVENTOU fils, PARIS.
DESFOSSES, à BESANÇON.
EDWARDS (M.), à Paris.
FARINES, à PERPIGNAN.
GOBLEY, à PARIS.
GUERANGER, au MANS.

LAVINI, à TURIN.

LEPAGE, à GISORS.

MM. LEROY, à BRUXELLES.

MARCHAND, à FECAMP.
MARTIUS, à ERLANGEN.
MORIDE, à NANTES.
MORIN, à ROUEN.
MORSON, à LONDRES.
MOUCHON, à LYON.
PESCHIER, à GENÈVE.
PETIT, à Issoudun.
PÉTROZ (H.), à PARIS.
POIRIER (ABEL), à Loudun.
RÉVEIL (0.), à PARIS.

RIGHINI, à OLEGGIO.

SEGALAS, à PARIS,

TRÉVET (G.) à VILLERS-COT

TERETS.

Conseil du Journal: Me LACOIN, avocat à la Cour impériale de Paris.

Le JOURNAL DE CHIMIE MÉDICALE, DE PHARMACIE ET DE TOXICOLOGIE paraît une fois par mois, par cahiers de quatre feuilles d'impression, de manière à former par an un volume de près de 800 pages. On y joint des planches toutes les fois que le sujet l'exige. Le prix de l'abonnement est fixé, pour l'année, à 12 fr. 50 c. pour toute la France, et pour l'étranger suivant les conventions postales.

Toute demande d'abonnement doit être accompagnée d'un mandat sur la poste, au nom de M. P. ASSELIN, éditeur du journal.

On peut également, et sans augmentation de prix, s'abonner : 1o par l'intermédiaire de tous les libraires de France et de l'étranger, qui en transmettent l'ordre à leur correspondant de Paris; 2o par l'intermédiaire des droguistes; 3° dans toutes les villes, aux bureaux des Chemins de Fer et des Messageries.

Nota. Le prix de la collection du JOURNAL DE CHIMIE MÉDICALE est ainsi fixé depuis le 1er juillet 1860:

ire série, 1825 à 1834, 10 forts volumes in-8°....

2e série, 1835 à 1844, 10
3e série, 1845 à 1854, 10

4e série, 1855 à 1864, 10

30 fr.

30

30

70

On peut acheter séparément les années 1825 à 1840, 1842 à 1857, au prix de 3 fr. 50 c. chacune; 1858, 1859, 1860, 1861, 1862 et 1863, à 10 fr., et l'année 1841 ne se vend qu'avec la 2e série complète.

On est prié d'affranchir les lettres et l'argent, ainsi que les Mémoires et notes destinés à être insérés dans le Journal. Les Mémoires doivent être adressés, francs de port, à M. CHEVALLIER, chimiste, membre du Conseil de salubrité, rue du Faubourg-Saint-Denis, no 188.

DE

CHIMIE MÉDICALE,

DE PHARMACIE, DE TOXICOLOGIE,

ET

REVUE

DES

NOUVELLES SCIENTIFIQUES

NATIONALES ET ÉTRANGÈRES

REVUE INDUSTRIELLE;

PUBLIÉ

SOUS LA DIRECTION DE

M. A. CHEVALLIER,

Pharmacien-Chimiste, Membre de l'Académie impériale de médecine, du Conseil
de salubrité, Professeur à l'École de pharmacie.

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P. ASSELIN, SUCCESSEUR DE BÉCHET JNE ET LABÉ,

LIBRAIRE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE,

PLACE DE L'ÉCOLE-DE-MÉDECINE.

1866

BITAEQUE

DF LAVGRSITÉ

GAND).

DE

CHIMIE MÉDICALE.

DE PHARMACIE ET DE TOXICOLOGIE.

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5me Série; Tome II; N° 1. Janvier 1866.

CHIMIE.

LE LESSIVAGE SYSTÉMATIQUE OU PAR DÉPLACEMENT.

LA DISTILLATION. — L'EAU DE MER.

(Communication de M. DUMAS à la Société d'encouragement.)

M. DUMAS, rappelant la publication des œuvres de Lavoisier à laquelle il consacre tous ses soins et dont trois volumes ont déjà paru, demande au conseil de lui prêter son concours au sujet d'une question qui l'embarrasse dans cet important travail.

Le procédé du lessivage des sels de soude, etc., généralement employé aujourd'hui et auquel on donne le nom de lavage systématique, est dû à Lavoisier, qui l'a appliqué au lavage des plâtras, à la purification des salpêtres bruts, à la distillation.

Mais la pensée même de ce procédé remonte à une époque peu avancée de la vie de l'illustre chimiste. En effet, en 1773, Lavoisier avait rédigé un mémoire dans lequel se trouve décrit avec le plus grand soin le moyen le plus propre à retirer, par voie de distillation, l'eau-de-vie du vin, l'eau douce de l'eau de mer. Or, ce moyen, analogue à celui dont il est question plus haut, avait été, pour l'eau de mer, l'objet d'une expérience entreprise sur un des vaisseaux du roi. Dans son mémoire,

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