Le Répertoire national, ou, Recueil de littérature canadienne, Volumes 1-2

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Imprimerie de Lovell et Gibson, 1848 - French-Canadian literature
 

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Popular passages

Page 117 - que les vers en sont exacts et harmonieux. Ce sont les démons qu'on assimile aux hommes du guet, qui se réveillent en sursaut, au cri d'alarme : They heard, and were abashed and up they sprung Upon the wing, as when men want to watch, On duty sleeping, found by whom they dread, Rouse and bestir
Page 125 - des boucliers, des casques, des dards, etc. Ils revêtaient probablement ces armes par prévoyance, en cas d'invasion. Il paraît aussi qu'ils montaient la garde, dont le commandant était Gabriel. Nous rapportons ce passage : Betwixt these rocky pillars Gabriel sat, Chief of the angelic guards awaiting night,
Page 253 - roue, la face tournée vers le ciel, pour y finir ses jours, le dit Jean Baptiste Goyer dit Bélisle préalablement appliqué à la question ordinaire et extraordinaire; ce fait, son corps mort, porté par l'exécuteur de la haute justice sur le grand chemin qui est
Page 123 - lui montre l'endroit où sont les premiers hommes, qu'il décrit ainsi: That spot to which I point in paradise, Adam's abode, those lofty shades his bower. Thy way thou cans't not
Page 299 - Canadien, comme ses pères, Aime à chanter, à s'égayer. Doux, aisé, vif en ses manières, Poli, galant, hospitalier, A son pays il ne fut jamais traître, A l'esclavage il résista toujours ; Et sa maxime est la paix, le bien-être Du Canada, son pays, ses amours. Chaque pays vante ses belles ; Je crois bien que l'on ne ment pas; Mais nos
Page 117 - wing, as when men want to watch, On duty sleeping, found by whom they dread, Rouse and bestir themselvea, are well awake.
Page 84 - je le fais d'une manière solennelle à mon heure dernière, non pas sur l'échafaud, environnée d'une foule insatiable de sang et stupide, mais dans le silence et les réflexions du cachot, Je meurs sans remords. Je ne désirais que le bien de mon pays dans l'insurrection, et son indépendance
Page 129 - 1840. LE DERNIER HURON. Triomphe destinée ! enfin, ton heure arrive, O peuple, tu ne seras plus. Il n'erra plus bientôt de toi sur cette rive Que des mânes inconnus. En vain le soir du haut de la montagne J'appelle un nom, tout est silencieux. O guerriers levez-vous, couvrez cette campagne Ombres de mes aïeux ! Mais la voix du
Page 85 - lire avec fruit; Et bien plus qu'il ne plaît, surprend, corrige, instruit : Qui, suivant les sentiers de la droite nature, A mis sa conscience à l'abri de l'injure; Qui, méprisant enfin le courroux des pervers, Ose dire aux humains leurs torts et leurs travers. Lecteur, depuis six jours, je travaille et je veille, Non, pour
Page 129 - Et sous lui frémir des os. Le sang indien s'embrase en sa poitrine ; Ce bruit qui passe a fait vibrer son cœur. Perfide illusion! au pied de la colline C'est l'acier du faucheur ! Encor lui, toujours lui, serf au regard funeste Qui me poursuit en triomphant. Il convoite, déjà, du chêne qui me reste L'ombrage rafraîchissant. Homme

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