...du grec ; car ce livre , qui eut un succès prodigieux dans l'Orient, avait été traduit de l'indou en persan , du persan en arabe, de l'arabe en hébreu , de l'hébreu en syriaque , et de cette dernière langue en grec. Un livre qui eût contenu les vérités les plus importantes...

...wamesa) qui dérive lui-même en partie du Livre de Sendabah, originaire de l'Inde. Ce dernier recueil, traduit du Sanscrit en Persan, du Persan en Arabe, de l'Arabe en Syriaque, du Syriaque en Hébreu, ainsi que je l'ai dit plus haut, a servi de type au livre latin composé...

...wamesa) qui dérive lui-même en partie du Livre de Sendabah, originaire de l'Inde. Ce dernier recueil, traduit du Sanscrit en Persan, du Persan en Arabe, de l'Arabe en Syriaque, du Syriaque on Hébreu, ainsi que je l'ai dit plus haut , a servi de type au livre latin...

...wamesa) qui dérive lui-même en partie du Livre de Sendabah, originaire de l'Inde. Ce dernier recueil, traduit du Sanscrit en Persan, du Persan en Arabe, de l'Arabe en Syriaque, du Syriaque en Hébreu, ainsi que je l'ai dit plus haut , a servi de type au livre latin...

...les hommes « ensemble ne savent pas : mais à la fin tout s'en va en « fumée; et ne les saurait-on mieux comparer qu'à une « bonne femme qui portait une potée de lait au marché, « faisant son compte ainsi : qu'elle la vendrait deux liards; « deces deux liards elle achèterait...

...tous les hommes ensemble ne savent pas: mais à la fin tout s'en va en fumée; et ne les saurait-on mieux comparer qu'à une bonne femme qui portait une potée de lait au marché, faisant son compte ainsi : qu'elle la vendrait deux liards ; de ces deux liards elle achèterait une...

...tous les hommes ensemble ne savent pas: mais à la fin tout s'en va en fumée; et ne les saurait-on mieux comparer qu'à une bonne femme qui portait une potée de lait au marché, faisant son compte ainsi : qu'elle la vendrait deux liards ; de ces deux liards elle achèterait une...

...narrés, étudiés d'une plume si alerte qu'on y prend un plaisir extrême. L'apologue du Panlchatantra traduit du sanscrit en persan, du persan en arabe,...des Perriers, lequel, voulant donner une leçon aux alquemistes de son temps et montrer que tout leur art s'en va en fumée, « ne les sçaurait mieux...

...narrés, étudiés d'une plume si alerte qu'on y prend un plaisir extrême. L'apologue du Pantchatantra traduit du sanscrit en persan, du persan en arabe,...latin en espagnol, arrive jusqu'à Bonaventure des Perricrs , lequel , voulant donner une leçon aux alquémistes de son temps et montrer que tout leur...

...fumée, tellement que leur alchimie se pourrait plus proprement dire, art qui mine ; et ne les saurait en mieux comparer qu'à une bonne femme qui portait une potée de lait au marché, faisant son compte ainsi : qu'elle la vendrait 2 liards, de ces 2 liards elle achèterait une douzaine...