Je n'ai jamais vu personne avoir l'air si effarouché; elle marchait d'une vitesse extrême, et, pour reconnaître sans les regarder les gens qui se rangeaient sur son passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté, à la manière des lièvres.... Revue des deux mondes - Page 740edited by - 1874Full view - About this book
| 1823 - 580 pages
...étaient parfaitement d'accord avec la bonté de son âjn.e. Madame Sophie était d'une rarç laideur; je n'ai jamais vu personne avoir l'air s,i effarouché;...l'habitude de voir de côté , à la manière des Jièvres. Celle princesse était d'une si grande^timidi(é qu'il était possible de la voir, tous les... | |
| 1822 - 450 pages
...le pieux verset. Elle cess.i lont-à-conp; c'était le silence de la mort. ( Note de madame Campan.] je n'ai jamais vu personne avoir l'air si effarouché;...côté, à la manière des lièvres. Cette princesse etait d'une si grande timidité qu'il était possible de la voir tous les jours , pendant des années... | |
| Mme Campan (Jeanne-Louise-Henriette) - Anecdotes - 1822 - 470 pages
...le pieux verset. Elle cessa tout-à-coup; c'était le silence de la mort. (Note de madame Campnn.', je n'ai jamais vu personne avoir l'air si effarouché; elle marchait d'une vitesse extrême, et pour recon« naître , sans les regarder , les gens qui se rangeaient sur son passage , elle avait pris... | |
| Mme Campan (Jeanne-Louise-Henriette) - France - 1823 - 454 pages
...le pieux verset. Elle cessa tout-à-coup ; c'était le silence de la mort. (Note de madame Campan. ) je n'ai jamais vu personne avoir l'air si effarouché;...d'une vitesse extrême , et pour reconnaître, sans lee regarder, les gens qui se rangeaient sur son passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté... | |
| abbe Antoine Eugene de Genoude - 1847 - 706 pages
...bonté de son ame. Madame Sophie était d'une rare laideur; je n'ai jamais vu personne avoir l'air aussi effarouché ; elle marchait d'une vitesse extrême...son passage, elle avait pris l'habitude de voir de coté, à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande timidité , qu'il était... | |
| François Barrière - France - 1849 - 504 pages
...étaient parfaitement d'accord avec la bonté de son âme. Madame Sophie était d'une rare laideur ; je n'ai jamais vu personne avoir l'air si effarouché...pour reconnaître, sans les regarder, les gens qui se i £ette femme vertueuse mournt vie- one tête tomhait, et cessait de mêler sa time des fureurs révotntionnaires.... | |
| France - 1849 - 496 pages
...étaient parfaitement d'accord avec la bonté de son âme. Madame Sophie était d'une rare laideur ; je n'ai jamais vu personne avoir l'air si effarouché...pour reconnaître, sans les regarder, les gens qui se 1 Cette femme vertueuse mourut vie- âne tête tombait, et cessait de mêler sa time des fureurs révolutionnaires.... | |
| Charles de Mazade-Percin - 1866 - 304 pages
...d'insaisissable; madame Campan prétend que, pour reconnaître les gens qu'elle rencontrait sans les regarder, « elle avait pris l'habitude de voir de côté à la manière des lièvres. » Madame Victoire, la meilleure de toutes, avait des . intermittences de douceur et de bonté ; c'est... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1867 - 522 pages
...bien celle dont Mme Campan a dit que « pour reconnaître, sans les regarder, l'es gens qui étaient sur son passage, elle avait pris l'habitude de voir de côté à la manière des lièvres. » La tante Adélaïde avait de la prétention à l'esprit, aux grands moyens, à l'influence; elle... | |
| Edouard de Barthélemy - France - 1870 - 528 pages
...à ce qui se passait autour d'elle. « Madame Sophie était d'une laideur rare , dit madame Gampan. Je n'ai jamais vu personne avoir l'air si effarouché;...rangeaient sur son passage, elle avait pris l'habitude de les voir à la manière des lièvres. Cette princesse était d'une si grande limidité qu'il était... | |
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