L'École des moeurs: ou Réflexions morales et historiques sur les maximes de la sagesse, Volume 1 |
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Common terms and phrases
aime amis assez aurait avons ayant beau belle besoin bienfaisance bonté chose chrétienne coeur conduite cour crainte croire d'autres d'avoir d'être demander devait devoir Dieu digne dire disait dit-il divine doit domestiques donner doute effet enfants ennemis facile faisait fidèle fils fond font force garder gens gloire heureux homme honorer j'ai jeta jeune jour juger jusqu'à juste l'homme laisser lieu livres Louis lui-même main maître malheureux manière manquer ment mère mettre mieux monde montre mort n'avait n'en n'ont nature nombre obligé officiers parler paroles passer passions pauvre payer peine penser père personne piété place plaisir politesse porte pourrait pouvait premier présent prêter prince propre puisse qu'à qu'un quelquefois raison récompense reconnaissance religion rend rendre répondit respect reste rien s'en s'il sage sagesse saint secret Seigneur sentiments serait service servir seul soin sommes sorte souvent soyez surtout tenir terre trait trouver venir vérité vertu voulait voyant vrai yeux
Popular passages
Page 18 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Page 220 - Revenez-y encore , c'est un plaisir qui ne s'use point ; plus on le goûte , plus on se rend digne de le goûter : on s'accoutume à sa prospérité propre, et on y devient insensible; mais on sent toujours la joie d'être l'auteur de la prospérité...
Page 133 - Chose admirable! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie , fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 7 - Sortez du néant, et présidez au jour ?" Et à la lune : " Paraissez, et soyez le flambeau de la nuit ?" Qui a donné l'être et le nom à cette multitude d'étoiles qui décorent avec tant de splendeur le firmament, et qui sont autant de soleils immenses, attachés chacun à une espèce de monde nouveau qu'ils éclairent?
Page 104 - Puisque vos parents sont si peu à leur " aise, vraisemblablement ils ne vous ont pas beau" coup garni le gousset. Recevez pour vos menus" plaisirs, ces trois louis que je vous présente de la " part du roi ; et quant à Monsieur votre père, je " vais lui envoyer d'avance les six premiers mois de " sa pension que je suis assuré de lui obtenir.
Page 104 - Les annales japonaises font mention de cet exemple extraordinaire d'amour filial. Une femme était restée veuve avec trois garçons, et ne subsistait que de leur travail.
Page 35 - L'homme est né menteur : la vérité est simple et ingénue, et il veut du spécieux et de l'ornement ; elle n'est pas à lui, elle vient du Ciel toute faite, pour ainsi dire, et dans toute sa perfection ; et l'homme n'aime que son propre ouvrage, la fiction et la fable.
Page 118 - je suis " pénétré, pour votre majesté, de la soumission la " plus respectueuse ; je ne suis ni mauvais citoyen " ni sujet infidèle. Ce n'est ni le ministre disgracié " ni le criminel d'état, que j'ai...
Page 50 - Il monte sur un bateau, gagne à force de rames le milieu du fleuve, aborde, attend au bas de la pile que toute la famille, père, mère, enfants & vieillards, se glissant le long d'une corde, soient descendus dans le bateau. Courage, dit-il, vous voilà sauvés.
Page 104 - Puisque vos pareus sont si peu à leur aise , vraisemblablement ils ne vous ont pas bien fourni le gousset ; recevez , pour vos menus plaisirs , ces trois louis que je vous présente de la part du roi ; et quant à monsieur votre père, je lui enverrai d'avance les six mois de la pension que je suis assuré de lui obtenir.