Lettres persanes, Volume 2Chez Pierre Marteau., 1731 |
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abfolument affez Afie ainfi Alcoran auffi auroit avoient avoit ayent befoin c'eft c'eſt c'étoit caufe chofe choſes cœur deferts Dervis Dieu difent difoit Efclaves efprit enfans enfuite eſt Etats étoient étoit Eunuques facré faint fans ceffe fant fçais fe font fe trouve fecond fecret felon femble femmes fens fent feroit fervir fes Sujets feul foibles foient foit fous fouvent fuis fujet fûr galité gens Hiftoriens homme IBBEN Ibrahim j'ai jamais jours jufques Juftice Juſtice l'efprit laiffe LET LETTRE Loix long-tems lorfqu'il lorfque Lune de Gemmadi Lune de Rebiab Lune de Saphar Mahometans maniere menfes ment mille Miniftre Monfieur n'eft n'eſt NARSIT Nation paffer paffions penfe Pere Perfe perfonne Peuples plaifirs ples plûtôt prefent prefque Prince puiffance puiffe qu'un raifon refpect refte reux Rhedi RICA richeffes rien Rois Romains ruïner s'eft Serrail d'Ifpahan tems tion toûjours toyens USBEK Venife
Popular passages
Page 42 - Ainsi, quand il n'y aurait pas de Dieu, nous devrions toujours aimer la justice ; c'est-à-dire faire nos efforts pour ressembler à cet être dont nous avons une si belle idée, et qui, s'il existait, serait nécessairement juste.
Page 177 - ... d'intempérance , il ne faut pas douter qu'après avoir rendu la pratique du mariage univerfelle, ils n'en euflent encore adouci le joug , & achevé d'ôter toute la barrière qui fépare , en ce point , le Nazaréen & Mahomet.
Page 168 - J'aurai peut-être , dans mes Lettres fuivantes, occafion de te prouver que plus il ya d'hommes dans un Etat , plus le commerce y fleurit : je prouverai aufll facilement, que plus le commerce y fleurit, plus le nombre des hommes y augmente : ces deux chofes s'ëntr'aident & fe favori!
Page 50 - D'ailleurs , comme toutes les religions contiennent des préceptes utiles à la fociété, il eft bon qu'elles foientobfervées avec zèle. Or , qu'y at-il de plus capable d'animer ce zèle , que leur multiplicité ? Ce font des rivales qui ne fe pardonnent rien. La jaloufie defcend jufqu'aux particuliers : chacun fe tient fur fes gardes, & craint de faire des chofes qui déshonoreroient fon parti , & l'expoferoient aux mépris & aux cenfures impardonnables du parti contraire.