La Lanterne, par H. Rochefort, Volume 21868 |
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15 août 26 septembre Aix-la-Chapelle Albert Wolff aurait avez Baroche belge BELGIQUE ET L'ÉTRANGER bles Bonaparte BRUXELLES ABONNEMENTS candidat Cavaignac cent château de Pau citoyens civil condamné d'aller d'amende déclarer Delesvaux demande distribuer dix mille Dufaure effet Ernest Baroche Félix Pyat femme fusillé gouvernement guerre HENRI ROCHEFORT Henry Monnier homme Isabelle j'ai jamais jeune jour journaux jugement justice l'Empereur l'Impératrice LANTERNE BUREAUX LANTERNE PAR HENRI léon III mains Marfori Martin Bidoré ment ministre mois de prison mois Trois mois Moniteur n'ai Napo Napoléon Napoléon III nement nommé numéro passer Pastoureau personne peuple Peyruc Pinard police politique président Prince Impérial Prusse publique refuse Reine d'Espagne reste reur révolution rien Rouher ROZEZ FILS rue de Laeken s'est sais sait Samedi séditieux septembre 1868 serait seul Six mois souverain Stamir et Bussy teurs tion tribunal trône Tuileries Vendredi Victor Hugo Voilà voter Walewski WITTMANN
Popular passages
Page 44 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 52 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 51 - Tout acte exercé contre un homme hors des cas et sans les formes que la loi détermine, est arbitraire et tyrannique ; celui contre lequel on voudrait l'exécuter par la violence, a le droit de le repousser par la force.
Page 57 - Talleyrand, Mon intention est que les articles politiques du Moniteur soient faits par les relations extérieures, et quand j'aurai vu pendant un mois comment ils seront faits, je défendrai aux autres journaux de parler politique autrement qu'en copiant les articles du Moniteur. NAPOLÉON.
Page 55 - ... des intérêts généraux qu'il a trahis. , « Voyez vos ports presque déserts ; voyez vos barques qui languissent sur la grève ; voyez votre population laborieuse qui n'a pas de quoi nourrir ses enfants, parce que le gouvernement n'a pas osé protéger son commerce, et écriez-vous avec moi : Traîtres, disparaissez...
Page 12 - César (rions-en, pendant que nous y sommes) et dont j'ai parlé dans mon dernier numéro, est l'œuvre de M. Barye. On sait que M. Barye- est le plus célèbre de nos sculpteurs d'animaux.
Page 49 - ... qui tendent, non à ruiner le riche au profit du pauvre, mais à fonder le bien-être de chacun sur la prospérité de tous; Restreindre dans de justes limites le nombre des emplois qui dépendent du pouvoir, et qui souvent font d'un peuple libre un peuple de solliciteurs...
Page 47 - Mon nom ne peut plus être un prétexte de désordres. Il me tarde donc de rentrer en France et de m'asseoir au milieu des représentants du peuple qui veulent organiser la république sur des bases larges et solides. Pour rendre le retour des gouvernements passés impossible, il n'ya qu'un moyen, c'est de faire mieux qu'eux, car, vous le savez, général, on ne détruit que ce qu'on remplace.
Page 28 - ... est temps que tant d'iniquités aient leur terme ; il est temps d'aller leur demander ce qu'ils ont fait de cette France si grande, si généreuse, si unanime de 1830!
Page 50 - Éviter cette tendance funeste qui entraîne l'État à exécuter lui-même ce que les particuliers peuvent faire aussi bien et mieux que lui. La centralisation des intérêts et des entreprises est dans la nature du despotisme. La nature de la République repousse le monopole. Enfin, préserver la liberté de la presse des deux excès qui la compromettent toujours : l'arbitraire et sa propre licence.