 | Frédéric Lullin de Châteauvieux - France - 1817 - 170 pages
...Masséna se défendait dans Gênes; mais les armées de la République n'osaient plus repasser ni le Rhin ni les Alpes. Il fallait donc rentrer en Italie et...mais je n'avais ni soldats, ni canons, ni fusils. J'appellai les conscrits; je fis forger des armes ; je réveillai le sentiment de l'honneur national,... | |
 | François Charles L. Comte - 1817 - 826 pages
...se défendait dans Genes : mais les armées de la république n'osaient plus repasser, ni le Rhin, ni les Alpes. Il fallait donc rentrer en Italie et...mais je n'avais ni soldats, ni canons, ni fusils. t » J'appelai les conscrits; je fis forger des armes ; je réveillai le sentiment de l'honneur national... | |
 | Frédéric Lullin de Châteauvieux - 1821 - 174 pages
...Masséna se défendait dans Gênes ; mais les armées de la république n'osaient plus repasser ni le Rhin ni les Alpes. Il fallait donc rentrer en Italie et...réveillai le sentiment de l'honneur national , qui u!est jamais qu'assoupi chez les Français. Je ramassai une armée. La moitié a ne portaient que des... | |
 | Napoleon I (Frankreich, Kaiser) - France - 1823 - 466 pages
...qui l'a souvent répété : il projetait la journée du 18 brumaire. TREIZIÈME NOTE. (Page 30.) " Tel était mon plan ; mais je n'avais ni soldats, ni canons, ni fusils." Comment sans soldats, sans canons, sans fusils ? Trois mois après le 18 brumaire, Napoléon a fait... | |
 | Antoine Henri baron de Jomini - 1827 - 550 pages
...paix à l'Autriche. Il fallait reprendre Mantoue, Alexandrie et Milan, à Vienne. Tel était mon plan. J'appelai les conscrits, je fis forger des armes;...qui n'est jamais qu'assoupi chez les Français. Je rassemblai une armée, jeune il est vrai, mais pleine d'enthousiasme. Le contre-coup de nos revers... | |
 | Antoine Henri baron de Jomini - 1827 - 554 pages
...paix à l'Autriche. Il fallait reprendre Mantoue, Alexandrie et Milan, à Vienne. Tel était mon plan. J'appelai les conscrits, je fis forger des armes;...qui n'est jamais qu'assoupi chez les Français. Je rassemblai une armée, jeune il est vrai, mais pleine d'enthousiasme. Le contre-coup de nos revers... | |
 | Antoine Henri baron de Jomini - 1827 - 558 pages
...paix à l'Autriche. Il fallait reprendre Mantoue, Alexandrie et Milan, à Vienne. Tel était mon plan. J'appelai les conscrits, je fis forger des armes;...qui n'est jamais qu'assoupi chez les Français. Je rassemblai une armée, jeune il est vrai, mais pleine d'enthousiasme. Le contre-coup de nos revers... | |
 | Antoine Henri baron de Jomini - 1827 - 556 pages
...paix à l'Autriche. Il fallait reprendre Mantoue, Alexandrie et Milan, à Vienne. Tel était mon plan. J'appelai les conscrits , je fis forger des armes;...réveillai le sentiment de l'honneur national, qui n'est jàmais qu'assoupi chez les Français. Je rassemblai une armée, jeune il est vrai, mais pleine d'enthousiasme.... | |
 | Napoleon I (Emperor of the French) - France - 1867 - 570 pages
...communiquées à Menou, qui l'a souvent répété : il projetait la journée du 18 brumaire. ( l'âge 3o.) «Tel était mon plan; mais je n'avais ni soldats, ni canons, ni fusils. ^ Comment, sans soldats, sans canons, sans fusils! Trois mois après le 18 brumaire, Napoléon a fait... | |
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Il me fallut donc faire la guerre. Masséna se défendait dans Gênes ; mais les armées de la république n'osaient plus repasser ni le Rhin ni les Alpes. Il fallait donc rentrer en Italie et en Allemagne , pour dicter une seconde fois la paix à l'Autriche.... 