La Revue universelle, Volume 7Jacques Bainville Plon-Nourrit, 1921 |
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Aimée Collinet allemand âme André Gide André Salmon anglais armée assez bacilles belge Belgique bourgeois Briddle britannique c'était Cécile Charles de Foucauld chose cœur commandement comte Debarsy demande démocratie Denys Cochin devant Dieu dire donner doute duc de Chartres esprit Fagues Favresse fille force Foucauld française Franquinet frère Charles général gens Georges Valois Gide groupe guerre heures homme Hortense j'ai jamais Japon jardins jeune femme Joubert jour Kippington l'Allemagne l'Angleterre l'esprit Laboulbène laisser Malmédy Mazandéran ment mieux Misonne Mme de Chateaubriand monde monsieur mort Morteza n'avait nation nationale paix parler passé pays pensée petite peuple peut-être philosophie politique premier prince problème qu'un question raison réaliser regard reste Rhin rien Robertine Russie s'est saint semble sentiment serait seul socialisme Société des Nations soir sorte Stavelot Stegerwald tcharvadar Térence terre tion Toulet traité de Versailles trouve tuberculeux tuberculose VIIe armée Villandry visage voilà voix vrai Wallon Warche yeux
Popular passages
Page 137 - Tout est bien , sortant des mains de l'Auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme.
Page 780 - Ces clauses bien entendues se réduisent toutes à une seule, savoir l'aliénation totale de chaque associé avec tous ses droits à toute la communauté...
Page 784 - Plus ces forces naturelles sont mortes et anéanties , plus les acquises sont grandes et durables, plus aussi l'institution est solide et parfaite : en sorte que si chaque citoyen n'est rien , ne peut rien que par tous les autres, et que la force acquise par le tout soit égale ou supérieure à la somme des forces naturelles de tous les individus , on peut dire que la législation est au plus haut point de perfection qu'elle puisse atteindre.
Page 784 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 780 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre .qu'auparavant.
Page 365 - Le malheur d'Ellénore prouve que le sentiment le plus passionné ne saurait lutter contre l'ordre des choses. La société est trop puissante, elle se reproduit sous trop de formes, elle mêle trop d'amertumes à l'amour qu'elle n'a pas sanctionné...
Page 504 - J'ai peur, comprenez-moi, de m'y compromettre. Je veux dire de limiter par ce que je fais, ce que je pourrais faire.
Page 784 - S'il doit l'être par son génie, il ne l'est pas moins par son emploi. Ce n'est point magistrature, ce n'est point souveraineté. Cet emploi, qui constitue la république, n'entre point dans sa constitution; c'est une fonction particulière et supérieure qui n'a rien de commun avec l'empire humain...
Page 530 - ... de féerie. — Nous hasardâmes timidement, M. de La Tresne et moi, quelques objections qui furent réfutées avec le rapide dédain de la supériorité (Rivarol, dans la discussion, était cassant, emporté, un peu dur même). — « Point « d'objections d'enfant, » nous répétait-il, et il continuait à développer son thème avec une profusion d'images toujours plus éblouissantes.
Page 507 - Que nous veulent ces gens qui mettent leur vertu à tout chérir en eux? Il n'ya d'homme que celui qui choisit, qui décide de son choix, fût-ce arbitrairement, fût-ce injustement. On ne fait quelque chose de valable et de bon qu'à ce prix, en traçant brutalement au besoin une allée bien droite dans le jardin des hésitations.