Deutsche Geschichte vom Tode Friedrichs des Großen bis zur Gründung des deutschen Bundes: 1 |
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Popular passages
Page 404 - Je viens de m'adresser à l'empereur, à l'impératrice de Russie, aux rois d'Espagne et de Suède, et je leur présente l'idée d'un congrès des principales puissances de l'Europe, appuyé d'une force armée, comme la meilleure mesure pour arrêter ici les factieux, donner...
Page 490 - Il y eut des envoie, des insinuations, des conférences entre Monsieur de Manstein et Du Mourier, et l'on s'abandonna pendant quelque temps à l'espoir illusoire d'attacher le Général françois plus ou moins à notre cause, et de contribuer efficacement par son secours à opérer un changement de système en France. Si à mon arrivée ici, qui eut lieu dans ces entrefaites , j'ai trouvé plusieurs esprits imbus de cette espérance flatteuse, il convient cependant d'observer que le Koi se doutoit...
Page 489 - Manstein à diner avec lui une seconde fois ; « nous entrerons ensemble dans une des maisons de Dampierre, et nous causerons à fond sur les intérêts de deux nations faites pour s'aimer et pour être alliées1 ». Manstein accepta. Il vint diner à Dampierre le 25 septembre.
Page 501 - ... des lâches qui ont pu faire croire que la conquête de la France était facile, et bientôt , au lieu de se défendre, elle attaquera , si une négociation raisonnable ne met pas une distinction entre le roi et son armée que nous estimons, et les Autrichiens et les émigrés que nous méprisons. Il est temps qu'une explication franche et pure termine nos discussions, ou les confirme , et nous fasse connaître nos vrais ennemis. Nous les combattrons avec courage , nous sommes sur notre sol ,...
Page 501 - ... qu'aucune puissance ne peut venir à bout de conquérir la France , je frémis en pensant au malheur affreux de voir nos plaines jonchées des cadavres de deux nations estimables, pour une vaine idée de point d'honneur dont un jour le roi lui-même rougirait en voyant son armée et son trésor sacrifiés à un système de perfidie et d'ambition qu'il ne partage pas et dont il est la dupe. Autant la nation française , devenue républicaine , est violente et capable de tous les efforts quelconques...
Page 499 - MM. de Manstein et Heymann proposèrent de faire cesser les tirailleries sur le front du camp, en spécifiant bien eux-mêmes que ce ne serait que sur le front du camp. Dumouriez con.vint que ces tirailleries étaient inutiles , et dès le soir la suspension d'armes fut établie sur le front des deux armées.
Page 491 - ... peut venir à bout de conquérir la France, je frémis en pensant au malheur affreux de voir nos plaines jonchées des cadavres de deux nations estimables, pour une vaine idée de point d'honneur, dont un jour le roi lui-même rougirait en voyant son armée et son trésor sacrifiés à un système de perfidie et d'ambition qu'il ne partage pas , et dont il est la dupe. » Autant la nation française , devenue républicaine, est violente et capable de tous les efforts quelconques contre ses ennemis...