Histoire de la réforme, de la ligue, et du règne de Henri IV, Volume 1L. Hauman et comp., 1834 - Europe |
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Common terms and phrases
anabaptistes Anne de Boleyn attaque avaient Calvin Carlostad catholicisme catholique Charles-Quint Christ clercs clergé COCHLEUS concile concile de Trente conciles de Bâle confession confession d'Augsbourg corps germanique croyances d'Augsbourg déclara devait diète Dieu disputes doctrines ecclésiastique écoles Église électeurs Epist époque Érasme esprit évêques François Ier Genève gouvernement Henri VIII Hist hommes immense indulgences j'ai Jean de Eck Jésus-Christ l'Allemagne l'autorité l'école l'Église l'électeur de Saxe l'empereur l'Empire l'esprit l'évêque l'hérésie l'Université landgrave légat Léon X liberté ligue de Smalkalde livre Luther lutheranisme luthériens Mélanchton ment Mérindol messe modéré mœurs monastères monastiques mouvement moyen âge Muncer opinions pamphlets pape parole persécution peuple philosophique politique pontife pontifical populaires prêcher prédication princes protestans principes proclamait puissance réforme religieuse religion romaine Rome s'était sacramentaires saint science script sectes siècle SLEIDAN souveraineté Suisse système théologie théorie ther thèses tion vaste Vaudois vieilles Wittemberg Worms Zwingle
Popular passages
Page 120 - C'est la parole, disait-il, qui, pendant que je dormais tranquillement et que je buvais ma bière avec mon cher Mélanchthon, a tellement ébranlé la papauté, que jamais prince ni empereur n'en a fait autant.
Page 51 - ... schisme , et à la réformation de l'Église- dans son chef et dans ses membres » : décret adopté par l'assemblée du clergé de France de i682.
Page 212 - Cette époque de tristesse et de découragement moral , Luther l'appelle le temps de ses sombres et pénibles tentations. Jamais théorie religieuse n'avait si puissamment agrandi l'action du diable ; c'est toujours cet esprit que Luther fait intervenir et parler quand il...
Page 203 - Dieu a obtenu jusques là, que la vérité de Christ, combien qu'elle ne soit perdue et dissipée, toutesfois soit cachée et ensevelie comme ignominieuse : et...
Page 332 - Lacoignéea déjà frappé l'arbre à sa racine. Celui qui ne porte point de bons fruits sera coupé et jeté au feu. » Le duc de Saxe avait une devise plus pieuse encore : « Sauvez votre nom, Seigneur ; » tandis que l'orgueilleux roi de Danemarck avait sur son étendard ces mots brodés de soie et d'or : « Nos libérateurs viendront du seplentrion.
Page 86 - Grand Dieu ! les pauvres âmes seront donc sous le sceau de votre autorité , enseignées pour la mort et non pour la vie ? Vous en rendrez un compte terrible, un compte dont la gravité va toujours croissant.
Page 211 - Ces mille divisions au sein de la réforme préoccupaient tristement Luther. Dans ces scènes populaires, il était douloureux pour le chef d'un large mouvement politique de voir son œuvre périr en se morcelant ; il s'en exprimait à tous ses amis avec douleur : « Luther, s'écrie Mélanchton, me cause de grandes peines par les longues plaintes qu'il me fait de ses afflictions. Il est abattu ', on ne le ménage pas dans des écrits qu'on ne dit pas méprisables.
Page 84 - ... qui depuis ont attaqué le pape avec tant de force et de présomption ! Si j'avais alors bravé le pape comme je le fais aujourd'hui, je me serais imaginé que la terre se fût à l'heure même ou verte, ainsi que pour Coré et Abiron. Lorsque j'entendais le nom de l'église, je frémissais, et offrais de céder *. » A mesure qu'on s'avançait dans ces disputes, chaque parti cherchait à les régulariser.
Page 94 - ÉRASME (1519). 87 vie de disputes et de science faisait croire à Luther qu'Erasme entrerait dans le vaste mouvement de la réforme , et qu'il l'appuierait de l'autorité de son nom ; il se décida à lui écrire: « Mon cher Erasme, vous qui faites tout notre honneur et sur lequel nous espérons , quoique nous ne vous connaissions point encore, adoptez-moi comme un frère en Jésus-Christ qui vous aime et vous estime parfaitement...
Page 63 - ... au trône, ou à la régence, à qui appartient-il de la décider, sinon à ce même peuple qui a d'abord élu ses rois, qui leur a conféré toute l'autorité dont ils se trouvent revêtus, et en qui réside foncièrement la souveraine puissance? Car un État ou un gouvernement quelconque est la chose publique, et la chose publique est la chose du peuple.