Histoire d'un paysan: 1792. La Patrie en danger |
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affaires de Nancy allait Alsace arriva aurait Autrichiens avaient Baraques bon sens Bouillé bras c'était Camille Desmoulins champ de Mars Chauvel chose club club des Jacobins comte d'Artois constitution content coup criant cris curé Christophe dame Catherine décret députés derrière Desmoulins devant Dieu dire disait émigrés ennemis étions évêques faisait femmes forge frère fusil garde citoyenne garde nationale gazettes gens girondins Graufthal guerre gueux heures hommes j'en Jacobins Jean Leroux Jean Rat jour l'Assemblée nationale l'auberge Lafayette Létumier Lixheim Louis XVI Lutzelbourg main maintenant maire maître Jean malheureux marché Marguerite ment Michel misérables Mittelbronn monde municipalité n'avait Nancy Nicolas parler passer patrie patriotes pauvre pays paysans pensait père peuple Phalsbourg Pickeholtz pouvait prêtres réfractaires raient regardaient reine reste révolution rien s'écria sabre Saverne schlitteurs seigneurs serait serment seulement soir soldats sorte terrible tête Trois-Pigeons Valentin venait veto vieille vieux village Vive la nation Voilà voulait voyait
Popular passages
Page 207 - Que tous les citoyens sont admissibles aux places et emplois, sans autre distinction que celle des vertus et des talents; 2°...
Page 315 - ... la puissance qui vous servirait à les braver; la Constitution, que pour qu'elle ne vous précipitât pas du trône, où vous aviez besoin de rester pour la détruire ; la nation, que pour assurer le succès de vos perfidies, en lui inspirant de la confiance, pensez-vous nous abuser aujourd'hui avec d'hypocrites protestations?
Page 209 - Il sera créé et organisé une instruction publique, commune à tous les citoyens, gratuite à l'égard des parties d'enseignement indispensables pour tous les hommes, et dont les établissements seront distribués graduellement, dans un rapport combiné avec la division du royaume.
Page 265 - L'Assemblée nationale , délibérant sur la proposition formelle du roi; considérant que la cour de Vienne , au mépris des traités , n'a cessé d'accorder une protection ouverte aux Français rebelles ; qu'elle a provoqué et formé un concert avec plusieurs puissances de l'Europe contre l'indépendance et la sûreté de la nation française ;
Page 315 - Enfin tous les maux qu'on s'efforce d'accumuler sur nos têtes, tous ceux que nous avons à redouter, c'est le nom seul du roi qui en est le prétexte ou la cause ! « Or, je lis dans la Constitution, chap.
Page 316 - Etait-ce nous défendre que d'écarter les projets tendant à fortifier l'intérieur du royaume, ou de faire des préparatifs de résistance pour l'époque où nous serions déjà devenus la proie des tyrans?
Page 231 - C'est le temps où Jean Chouan se mit en route dans le bas Maine, comme Schinderhannes & sa bande dans nos pays; ils commencèrent petitement par piller les écuries & les granges, mais, au bout de deux ou trois ans, ils devinrent célèbres, surtout Jean Chouan, que la noblesse & le clergé reconnaissaient comme un ferme soutien du trône & de l'autel, & qui donna son nom aux armées de la Vendée. L'Assemblée législative, voulant arrêter ces débordements, décréta le 29 novembre que les prêtres...
Page 138 - ... & de nouvelles distinctions ; eux, bien loin de vouloir que la volonté de Dieu soit faite sur la terre comme au ciel, se complaisaient dans leur orgueil, dans leur avarice & dans l'abaissement de leurs semblables!
Page 298 - Ces sentiments, qui tiennent à la nature du cœur humain, ont dû entrer dans le calcul des ennemis de la révolution. Ils ont donc compté sur une faveur secrète, jusqu'à ce que les circonstances permissent une protection déclarée.
Page 136 - Je jure de veiller avec soin aux fidèles dont la direction m'est confiée. Je jure d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi.