Cinq mois de guerre: février, mars, avril, mai, juin 1916, Volume 6 |
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actuellement aériens Affaires étrangères allemand Alliés anglais appareils armées Asquith attaques allemandes Autriche-Hongrie autrichien aviateurs avions avril Balkans bataille Bataille de Verdun bataillon belge Belgique Berlin Béthincourt bombardement britannique Bulgarie canons Chambre chef chiffre CINQ MOIS cité à l'ordre combat commandant commerce communiqué coulé croiseurs d'infanterie déclaration député diplomatiques Douaumont Dublin économique ennemis escadrille États-Unis février forces fort de Douaumont fort de Vaux française front général Gouvernement allemand Gouvernement américain Grèce hommes italien jour journaux juin l'Allemagne l'Angleterre l'armée l'artillerie l'ennemi Liebknecht lignes lord lord Kitchener malades et blessés mands marine mars ment mesures mètres militaire millions MOIS DE GUERRE Monténégro mort Mort-Homme munitions nations navales navires marchands neutres nord officiel officiers paix pays pertes peuple pilote politique président prisonniers région reste Robert Cecil Roumanie Russie s'est Salandra secteur sera Serbie service seulement situation soldats sous-marin sous-marin allemand Suisse suivant Sussex tion torpille torpilleurs tranchées troupes usines Verdun Wilson
Popular passages
Page 87 - Nous ne remettrons jamais au fourreau une épée que nous n'avons pas tirée à la légère, avant que la Belgique — et j'y ajouterai maintenant la Serbie — aient regagné tout et plus que ce qu'elles ont sacrifié, avant que la France soit parfaitement protégée contre une nouvelle agression, avant que le droit à l'existence des petites nations de l'Europe repose sur une base sûre et avant que la domination militaire prussienne soit détruite entièrement et à tout jamais.
Page 48 - Londres d'un bureau central international des affrètements. 2° De procéder en commun et dans le plus bref délai à la recherche des moyens pratiques à employer pour répartir équitablement entre les nations alliées les charges résultant des transports maritimes et pour enrayer la hausse des frets.
Page 87 - Puissances alliées et garantes déclarent que, le moment venu, le Gouvernement belge sera appelé à participer aux négociations de paix et qu'elles ne mettront pas fin aux hostilités sans que la Belgique soit rétablie dans son indépendance politique et économique et largement indemnisée des dommages qu'elle a subis. Elles prêteront leur aide à la Belgique pour assurer son relèvement commercial et financier.
Page 83 - Tout en s'abstenant strictement d'intervenir dans la conception, la direction ou l'exécution des opérations militaires, elle entend veiller à ce que, en vue de ces opérations, la préparation des moyens offensifs et défensifs, industriels et militaires, soit poussée avec un soin, une activité et une prévoyance correspondant à l'héroïsme des soldats de la République ; Constatant que le comité secret lui a permis de se renseigner efficacement...
Page 83 - ... et d'organiser une délégation directe qui exercera, avec le concours du Gouvernement, le contrôle effectif et sur place de tous les services ayant la mission de pourvoir aux besoins de l'armée...
Page 81 - ... ou à une administration publique, et par toutes personnes ayant accompli un acte de commerce à titre accidentel ou en dehors de leur profession en vue du même objet; Par les...
Page 88 - Belges, soit qu'ils combattent sur le front, soit qu'ils souffrent dans le pays occupé ou qu'ils attendent en exil l'heure de la délivrance, tous avec un égal courage. Les nouvelles assurances que vous venez de me donner confirmeront leur conviction inébranlable que la Belgique sera relevée de ses ruines et restaurée dans sa complète indépendance politique et économique. Je suis certain d'être leur interprète en vous disant que vous devez avoir pleine confiance en nous comme nous avons...
Page 54 - ... américain doit considérer comme les règles sacrées et indiscutables du droit des gens et comme les préceptes d'humanité universellement reconnus, le gouvernement américain serait enfin forcé d'arriver à cette conclusion qu'il n'ya plus qu'une seule ligne de conduite qu'il puisse adopter, et qu'à moins que le gouvernement impérial allemand déclare qu'il abandonne ses méthodes de guerre présentes contre les navires transportant des passagers et des marchandises, et prenne des mesures...
Page 54 - Il est donc devenu tristement évident que, par la position qu'il a prise dès le début, ce Gouvernement savait que l'emploi des sous-marins pour la destruction du commerce vital de l'ennemi, en raison du caractère même des navires employés et des méthodes d'attaque nécessitées par leur emploi, était incompatible avec les principes d'humanité, avec les droits depuis longtemps établis et indiscutables des neutres et avec l'immunité sacrée des non-combattants.