Mémoires de la Société académique des sciences, arts, belles-lettres, argriculture & industrie de Saint-Quentin: Société académique de Saint-Quentin. Annales scientifiques, agricoles et industrielles du départment de l'Aisne, 1843-54. 1844-55. 11 tom. in 5Imprimerie du Guetteur, 1848 |
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Académie des Sciences Archives de l'Hôtel-de-Ville ares Artemps Bauchart Belles-Lettres BESSON blé Bohain capitaine catégorie Câtelet céréales Chevresis-Monceau Coligny Coll Comice agricole commission commune comte Concours conseil d'administration cotisation cultivateur et maire culture Delafons département docteur-médecin espagnole faubourg d'Isle ferme Fieulaine Fluquières foire Fouquier Fresnoy-le-Grand fumier gerbes GOMART Gricourt Guise Guizancourt habitans Ham Somme hect hectares hectolitres Hémeré Henri Homblières jour jumens jury kilog l'Aisne l'Amiral l'armée l'assemblée l'hectare l'ouvrier Laon Lecat maladie Marle mayeur Médaille d'argent médecin médecin-vétérinaire membre du conseil membre résidant membres correspondans Messieurs Monnot Montcornet moyen muraille orge Origny ouvriers pensions plantes fourragères Pontru Pontruet porte d'Isle présenté président propre et maire propriétaire et maire Quentin race récolte Remicourt Roupy Saint-Quentin Sciences et Arts scrofuleux séance secours mutuels sera sociétaire Société académique Société d'Agriculture Société de prévoyance Société de secours Somme St.-Quentin terres tion travail trèfle trésorier Vermand
Popular passages
Page 21 - Le procès-verbal de la séance du 9 décembre est lu et adopté. — M. le Secrétaire-perpétuel dépouille la correspondance.
Page 233 - ... tous accouraient en foule vers la SaintDenis pour prendre part à la fête commune. C'est là qu'on mettait au grand jour les produits de l'industrie que de sombres boutiques cachaient le reste de l'année, ou qu'on y cherchait même inutilement et qui se fabriquaient: ailleurs. La banlieue y accourait en foule, lesunspoury faire des emplettes les autres pour prendre part aux divertissements qu'ils savaient y rencontrer.
Page 146 - D'un autre côté , l'étranger se fit un parti dans la Ligue. On y distingua les Espagnols et les Catholiques que bientôt on appela les Royaux. Le peuple ne voulait pas être espagnol; le parlement ne permit pas qu'on violât la loi salique. Plus le parti de l'étranger faisait d'efforts pour arriver à son but , qui était de donner une reine espagnole à la France , plus les catholiques, restés Francais , se rapprochaient du roi de Navarre.
Page 244 - LOIRE (HAUTE-). —Société d'agriculture, sciences, arts et commerce du Puy. LOIRE-INFÉRIEURE. — Société académique de Nantes.
Page 233 - La foire était donc une époque de jouissances , de surprises ,. de vives émotions : on en attendait l'arrivée avec impatience ; on s'y préparait long-temps à l'avance ; marchands étrangers et bourgeois , écoliers, courtisanes, filous , bateleurs , danseurs de corde , joueurs de passion , tous accoufaient en foule vers la Saint-Denis pour prendre part à la fête commune.
Page 136 - ... me satisfaire sur les articles que je leur avois baillez par memoire. Enfin ils me baillerent un estat desdits vivres, que je trouvai bien petit ; car, à vivre assez estroitement, à peine en pouvois-je avoir pour trois semaines. Et pource que je me doutois que cette recherche n'avoit pas esté bien faite , je donnai charge à un homme d'armes de ma compagnie de l'aller faire tout de nouveau et n'exempter une seule maison, et qu'il prit deux ou trois de ceux de ma compagnie avec luy, de sa connoissance,...
Page 145 - ... n'avait à sa disposition que trois nacelles si petites qu'à peine pouvaient-elles contenir quatre hommes. Le Connétable partit de La Fère le 8 août , et vint près du village d'Essigny-le-Grand, à la tête de 2,000 chevaux et 4,000 hommes d'infanterie , commandés par le capitaine Evard , mestre de camp. Là, après avoir mis son armée en bataille, il s'avança le plus près qu'il put des marais de la Somme , avec les capitaines les plus expérimentés de son armée , puis il fit étudier...
Page 122 - II est beau , sans doute, le spectacle de guerriers vieillis dans les combats, debout sur les frontières de leur pays , l'entourant d'un rempart d'acier, soutenant en héros le choc d'une armée ennemie , et sauvant ainsi leur patrie des horreurs de la guerre. Mais combien sont plus admirables encore ces populations généreuses, qui se lèvent tout-à-coup et tout entières à l'aspect de l'étranger menaçant leurs foyers, et savent combattre , vaincre ou mourir au lieu môme de leur berceau.
Page 146 - Mergey raconte dans ses mémoires un fait qui frappa les troupes, à leur départ de Ham, d'un sinistre présage. « Un grand chien » noir se vint présenter devant elle , et estant sur le cul , se mist à » hurler sans cesse, et quelque chose qu'on chassast le dict chien, il » retournait tousjours et continuoit ses hurlements : lors.
Page 221 - Ce n'était plus seulement une occasion de débit, c'était une servitude ; aussi plusieurs métiers, les bouchers surtout, aimaient mieux s'arranger avec la ville et lui payer une somme d'argent que d'être obligé de transporter leur commerce à la foire (1).