Maret, duc de Bassano |
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affaires agents alliés Alquier anglais août arriver aurait autorisé autrichien avaient baron Bignon Bernadotte Bignon C'était cabinet Caulaincourt Chauvelin circonstances comte de Bubna comte de Metternich comte de Narbonne conférences congrès conseil convention correspondance courrier déclaration démarche départ dépêche dernière devait diplomatique Dresde duc de Bas duc de Bassano duc de Vicence duché de Varsovie Dumouriez eût événements général gouvernement guerre hommes incident instructions jours juillet juin l'alliance l'ambassadeur l'Angleterre l'armée l'armistice l'Autriche l'Em l'empereur Alexandre l'empereur Napoléon laisser Lauriston Lebrun lettre lui-même Majesté Maret médiation ment mesure militaire ministre mission mois Moscou n'avait n'était négociation Nesselrode nistre nouvelle pacifique paix passer pendant pereur Pétersbourg Pitt plénipotentiaires politique Pologne pouvait Pradt première prince Kourakin prince royal propositions Prusse prussien puissances relations extérieures réponse résolution rester Russie s'était Schwarzenberg secret secrétaire d'État Sémonville serait seulement Suède suivant Talleyrand Tchernitchef Thiers Tilsit tion traité traité de Tilsit triche troupes Wilna
Popular passages
Page 500 - ... attaque, je fais donc partie de ce que la France doit défendre ! En me livrant, elle se livre ellemême, elle avoue sa faiblesse, elle se reconnaît vaincue, elle encourage l'audace du vainqueur! Ce n'est pas la liberté qui me dépose, c'est Waterloo, c'est la peur, une peur dont vos ennemis profiteront.
Page 500 - ... avoue sa faiblesse, elle se reconnaît vaincue, elle encourage l'audace du vainqueur... Ce n'est pas la liberté qui me dépose, c'est Waterloo, c'est la peur, une peur dont vos ennemis profiteront. » Et quel est donc le titre de la Chambre pour me demander mon abdication ? Elle sort de sa sphère légale, elle n'a plus de mission. Mon droit, mon devoir, c'est de la dissoudre.
Page 229 - Plus on est grand, moins on doit avoir de volonté, dira-t-il à l'apogée de sa puissance : l'on dépend des événements et des circonstances; moi, je me déclare le plus esclave des hommes; mon maître n'a pas d'entrailles, et ce maître, c'est la nature des choses.
Page 464 - SM n'a pas voulu attendre que vous lui eussiez donné connaissance des premières ouvertures, de crainte d'occasionner le moindre retard. Je suis donc chargé, M.
Page 397 - Moskowa , le général Souham , le général Girard , étaient partout , faisaient face à tout. Blessé de plusieurs balles , le général Girard voulut rester sur le champ de bataille; il déclara vouloir mourir en commandant et dirigeant ses troupes, puisque le moment était arrivé pour tous les Français qui avaient du cœur de vaincre ou de périr.
Page 333 - Si vos efforts sont unanimes, vous pouvez concevoir l'espoir de réduire vos ennemis à reconnaître vos droits. Mais, dans...
Page 60 - Coblentz, mais de châtier les factieux de l'Assemblée nationale et de la capitale. Le roi de Prusse et le roi de Hongrie, comme on sait, sont bien moins à craindre pour la France que les municipaux et les sociètés des amis de la constitution : Léopold et La Fayette, nous l'ont hautement déclaré.
Page 463 - Je vous expédiai hier un courrier avec une « lettre de Sa Majesté, et les nouveaux pleins« pouvoirs que vous avez demandés. « Au moment où Sa, Majesté va quitter « Troyes, elle me charge de vous en expédier « un second, et de vous faire connaître en...
Page 463 - Je ne sache rien de si magnanime que la résolution que prit un monarque qui a régné de nos jours ', de s'ensevelir plutôt sous les débris du trône que d'accepter des propositions qu'un roi ne doit pas entendre : il avait l'âme trop...
Page 258 - Sans difficulté. — Et l'Empereur ? — Pas davantage. — Et la belle-mère, qui nous déteste ? — Vous ne la connaissez pas ; c'est une femme ambitieuse, on la déterminera quand et comme on voudra...