La réforme et la ligue ... |
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Common terms and phrases
ambassadeur armée armes assemblée avaient avoit batailles Béarn Bèze Blois bonne Bourbon bourgeois c'était calvinistes capitaines cardinal de Lorraine Catherine de Médicis catholicisme catholique ceste Charles Charles IX chef chevalerie chose concile conseil cour couronne devait Dieu doctrines duc d'Alençon duc d'Anjou duc de Guise écrivait église Élisabeth envoyé esprit estats esté estoient estoit estre étoit évêques faict force François Ier frère Genève gentilhommerie gentilshommes halles Henri de Navarre Henri III hérétiques hommes huguenots j'ai l'amiral Coligny l'église l'Espagne lettres liberté ligue Luther luthériens main maison de Guise majesté mandé maréchal Damville massacre ment messe mille modéré Montmorency mouvement négociations opinions paix pamphlets pape parlement Pasquier Pays-Bas peuple Philippe politique populaire pouvait prêches prédication prince de Condé protestants provinces quarteniers réforme reine reine-mère reîtres religieuse religion Rome roy de Navarre royale royaume royne royne-mère s'était Saint-Barthélemi sainte secret seigneur seroit seulement sieur Suisses tiers-parti tion voulait
Popular passages
Page 373 - Nous vous jurons que vous en au« rez nouvelles ; car nous y mènerons si bien les mains « à tort et à travers, qu'il en sera mémoire à jamais.
Page 368 - L'accident de la blessure au lieu de mort , les menaces , forcent le conseil à la résolution de tuer tous les chefs.
Page 344 - Non, non, dit-il, ma tante; je vous honore « plus que le Pape , et aime plus ma sœur que je ne le « crains. Je ne suis pas huguenot , mais je ne suis pas
Page 286 - II n'ya pas long-temps, dit-il un jour à l'amiral, que vous • vous contentiez d'être soufferts par les catholiques; maintenant » vous demandez à être égaux, bientôt vous voudrez être seuls,
Page 426 - ... du lit ; et tirant sa <xmverture, le roi commença à lui dire, jetant un grand soupir, et larmoyant si fort que les sanglots lui interrompaient la parole : Ah ! ma nourrice , ma mie , ma nourrice , que de sang et que de meurtres ! Ah ! que j'ai suivi un méchant conseil ! O mon Dieu ! pardonne-les-moi, et me fais miséricorde, s'il te plaît.
Page 546 - ... sur son parti , fut telle qu'elle lui blanchit la moitié de la moustache.
Page 580 - Car elle estait telle, qu'à peine elle-mesme pouvait-elle passer par les rues si dru semées et retranchées de barricades, tellement que ceux qui les gardoient ne voulurent jamais faire plus grande ouverture que pour passer la chaise. »La...
Page 340 - Elle est .belle et bien avisée, et de bonne grâce, mais .nourrie en la plus maudite et corrompue compagnie ; car je n'en vois point qui ne s'en sente. Votre cousine la marquise en est tellement changée qu'il n'ya apparence de religion...
Page 304 - Béarn, qui, s'avançant d'un air guerrier , dit : « Je jure de défendre la religion , et de • persévérer dans la cause commune , jusqu'à ce que la mort ou la » victoire nous ait rendu a tous la liberté que nous désirons.
Page 50 - Dieu sacrifié , ne doivent-ils pas renoncer à toutes ces pompes qui corrompent l'Église ? Je propose à toutes les nations une grande réforme : je demande que les empereurs et les princes aient sur les ecclésiastiques le même pouvoir que les papes, et que ceux-ci, ainsi que les...