, avaient fait admettre en principe que le roi, comme chef du gouvernement féodal, avait, de préférence à tout autre, le droit de juger certaines causes, nommées pour cela cas royaux. Mais ils ne voulurent jamais déterminer clairement quels étaient... Histoire de France - Page 276by Théodose Burette - 1842Full view - About this book
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - France - 1826 - 564 pages
...royaux. Mais ils ne voulurent jamais déterminer clairement quels étoient les cas royaux, et c'étoit par une décision tout arbitraire, que toutes les fois qu'une cause leur paroissoit intéresser l'autorité du roi, ils l'enlevoient aux justices seigneuriales, pour en attirer... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi, Sismondi - France - 1826 - 564 pages
...royaux. Mais ils ne voulurent jamais déterminer clairement quels étoient les. cas royaux, et c'étoit par une décision tout arbitraire, que toutes les fois qu'une cause leur paroissoit intéresser l'autorité du roi, ils l'enlevoient aux justices seigneuriales, pour en attirer... | |
| Philippe Le Bas - France - 1840 - 574 pages
..., (***) Les prévôts élaient les officiers des baillis , comme les viguiers ceux des sénéchaux. qui savaient combien peut s'étendre un droit que...point d'abord des noms ni des formes nouvelles , mais il profitèrent de tout ce qui pouvait leur servir dans les institutions féodales , pour cacher leurs... | |
| World history - 1840 - 588 pages
...8. ("*) Les prévôts élaient les officiers des "'"¡s, comme les virruiers ceux des sénéchauj. qui savaient combien peut s'étendre un droit que...point d'abord des noms ni des formes nouvelles , mais il profitèrent de tout ce qui pouvait leur servir dans les institutions féodales, pour cacher leurs... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1846 - 554 pages
...préférence à tout autre, le droit de juger certaines causes, nommées pour cela cas royaux. Mais ils ne voulurent jamais déterminer clairement quels étaient...seigneuriales, pour en attirer le jugement à leurs cours *. En même temps, les baillis augmentèrent sans cesse, aux dépens des justices seigneuriales, le... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1846 - 550 pages
...préférence à tout autre, le droit de juger certaines causes, nommées pour cela cas royaux. Mais ils ne voulurent jamais déterminer clairement quels étaient...seigneuriales, pour en attirer le jugement à leurs cours a. En même temps, les baillis augmentèrent sans cesse, aux dépens des justices seigneuriales, le... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1826 - 560 pages
...royaux. Mais ils ne voulurent jamais déterminer clairement quels étoient les cas royaux, et c'étoit par une décision tout arbitraire, que toutes les fois qu'une cause leur paroissoit intéresser l'autorité du roi , ils l'enlevoient aux justices seigneuriales, pour en attirer... | |
| |