J'avais des amis; l'idée d'en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j'emporte en mourant; qu'ils sachent du moins que, jusqu'à mon dernier moment, j'ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur! Histoire de la Révolution de France - Page 444by Félix Conny de la Fay - 1838Full view - About this book
| Michel-Joseph-Pierre Picot - France - 1816 - 204 pages
...vous causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu'il m'ont fait. Je dis ici adieux h mes tantes , à tous mes frères et sœurs. J'avais des amis :...sachent du moins que, jusqu'à mon dernier moment , j'ai pensé à eux. Adieu , ma bonne et tendre sœur ; puisse cette lettre vous arriver! Pensez toujours... | |
| Jean-Gabriel Peltier - 1816 - 752 pages
...me* ennemis le mal qu'il m'ont fait. " Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes freres et Meurs. J'avais des amis ; l'idée d'en être séparée pour...sachent du moins que jusqu'à mon dernier moment j'ai pensé à eux. " Adieu, ma bonne et tendre sœur. Puisse cette lettre vous arriver. Pensez toujours... | |
| Henri Le Maire - 1816 - 484 pages
...le vouloir, j'aurais pu vous causer. Je » pardonne à tous mes ennemis le mal qu'ils m'ont fait. » Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères...J'avais des amis ; l'idée d'en être séparée pour 2, jamais , et leurs peines, sont un des plus grands regrets s que j'emporte en mourant. Qu'ils sachent... | |
| Le Mans (France) - 1816 - 540 pages
...pardonne à tous mes enneinis le mal qu'ils m'ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à lous nies frères et sœurs. J'avais des amis , l'idée d'en...pour jamais et leurs- peines sont un des plus grands regrets'que j'emporte en mourant ; qu'ils sachent , du moins,, que jusqu'à mon dernier moment , j'ai... | |
| 1816 - 430 pages
...sans le vouloir, J'aurois pu TOUS causer; je pardonne à tous mes ennemis le mal qu'ils m'ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J'avois des amis ; l'idée d'en être séparée pour jamais, et leurs peines sont un des plus grands... | |
| Paris (France) - 1816 - 432 pages
...niai, qu'ils m'ont l'ait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous nies frères et sœurs. J'avois des amis; l'idée d'en, être séparée pour jamais, et leurs peines sont un des plua grands regrets que j'emporte en mourant; qu'ils sachent du moins que, jusqu'à mou dernier moment,... | |
| Paris (France) - 1816 - 898 pages
...sans le vouloir, J'aurois pu vous causer; je pardonne n tous mes ennemis le mal qu'ils m'ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et sœurs. J'avois des amis; l'idée d'«ri êlr» séparée pour jamais, et leurs peines sont nn des plus grands... | |
| Louis-Pierre Anquetil - France - 1818 - 400 pages
...sans le vouloir, j'aurois pu vous causer. Je pardonne a tous mes ennemis le mal qu'ils m'ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes, et à tous mes frères et sœurs. J'avois des amis; l'idée d'en être séparée pour jamais, et leurs peines, sont un des plus grands... | |
| Mme. Dufrénoy - Women - 1820 - 424 pages
...MARIE-ANTOINETTE, xvni*. SIÈCLE. Si 5 » sœurs. J'avais des amis; l'idée d'en être sé» parée pour jamais, et leurs peines, sont un des » plus grands regrets que j'emporte en mou» rant. Qu'ils sachent du moins que, jusqu'à » mon dernier moment, j'ai pensé à eux. Adieu... | |
| Archille François Leonor marquis de Jouffroy d'Abbans - France - 1820 - 478 pages
...sans le vouloir , j'a1mais pu vous causer. Je pardonne à tous mes ennemis le mal qu'ils m'ont fait. Je dis ici adieu à mes tantes et à tous mes frères et soeurs. J'avais des amis ; l'idée d'en être séparée pour jamais , et leurs peines , sont un des... | |
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