La Revolution française: revue d'histoire contemporaine, Volume 3Charavay frères, 1882 - France |
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adresse AGRICOL MOUREAU applaudissements armées assemblées avaient avez avoit avons BARJAVEL billet Bonaparte Camille Desmoulins Carpentras CHARAVAY chevalier de Saint-Louis chose CITOYENS COMPOSANT clergé cœur collègues commissaires Concordat Constitution Convention nationale Custine Danton déclaration décret délibérations demande département de Vaucluse députés devant Directoire discours district Égypte électeurs électorale ennemis étoit expédition d'Égypte frères et amis fùt garde nationale général gouvernement guerre hommes Ibid j'ai Jacobins jour juillet juin justice l'armée l'Assemblée nationale Lafayette législatif lettre liberté lois Louis Blanc Louis XVI Marseillaise Mayence membres ment Meyère ministre Mirabeau monarchie Moniteur mort municipalité nation Necker parle patrie patriotes personne politique pouvoir exécutif présent président principes procès-verbal publique représentants du peuple Répu républicains République Révolution française révolutionnaire Rhin Robespierre Rouget de Lisle Rovère et Poultier royale scrutateurs séance secrétaire sections sentiments sera serment seul soldats souveraineté suffrages Temple tion Tonneins tribunal tribunal révolutionnaire tribune Vaucluse veto veuve Capet votants
Popular passages
Page 552 - La loi est l'expression de la « volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir « personnellement ou par leurs représentants à sa formation. « Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit « qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, « sont également admissibles à toutes dignités, places et
Page 255 - pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes les dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction — que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 255 - exercer d'autorité qui n'en émane expressément. « La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont le droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la môme pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes
Page 255 - la sûreté, la résistance à l'oppression. « Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation; nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément. « La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont le droit de concourir
Page 552 - personnellement ou par leurs représentants à sa formation. « Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit « qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, « sont également admissibles à toutes dignités, places et em« plois publics, selon leur capacité, et sans
Page 148 - Nous entrerons dans la carrière, Quand nos aines n'y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, El la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre, Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil, De les venger ou de les suivre. Aux armes, citoyens! formez vos bataillons! Marchez... qu'un sang impur abreuve vos sillons
Page 255 - naissent et demeurent libres et égaux en droit. « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme; ces droits sont la liberté, la sûreté,
Page 255 - Tous les citoyens ont le droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la môme pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes les dignités, places
Page 193 - en fit un des articles de la Constitution de 1791, en ces termes : « La nation française renonce à entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et n'emploiera ses forces contre la liberté d'aucun peuple.
Page 405 - à l'Assemblée législative : — « Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie (on applaudit). — Pour les vaincre, Messieurs, il nous faut de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, et la France est sauvée ! » (Les applaudissements recommencent) (1).