Etudes sur la théorie de l'avenir, ou Considerations sur les merveilles et les mystères de la nature, relativement aux futures destinées de l'homme, Volume 2Maradan, 1810 - Future life |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 31
... notes . On prend des notes pour soi- même , et on fait des signes pour les au- tres ; mais si on ne prenait pas des notes , on ne pourrait pas plus penser qu'on ne pourrait communiquer ses pensées , si on ne faisait des signes , etc ...
... notes . On prend des notes pour soi- même , et on fait des signes pour les au- tres ; mais si on ne prenait pas des notes , on ne pourrait pas plus penser qu'on ne pourrait communiquer ses pensées , si on ne faisait des signes , etc ...
Page 137
... ne peut être autre chose que la fixité de cette transmutation dont nous avons observé le principe constant dans le systême général de la nature . ( 20 ) NOTES POUR LA SECONDE PARTIE . ON NOTE ( 1 THÉORIE DE L'AVENIR . 157 :
... ne peut être autre chose que la fixité de cette transmutation dont nous avons observé le principe constant dans le systême général de la nature . ( 20 ) NOTES POUR LA SECONDE PARTIE . ON NOTE ( 1 THÉORIE DE L'AVENIR . 157 :
Page 138
François Claude Turlot. NOTES POUR LA SECONDE PARTIE . ON NOTE ( 1 ) , tom . I , CHAP . I , page 308 . N doit présumer que c'est cette inégalité de distribution du fluide électrique dans le corps humain , qui fit découvrir à M. Petetin ...
François Claude Turlot. NOTES POUR LA SECONDE PARTIE . ON NOTE ( 1 ) , tom . I , CHAP . I , page 308 . N doit présumer que c'est cette inégalité de distribution du fluide électrique dans le corps humain , qui fit découvrir à M. Petetin ...
Page 139
... - extraordinaire que re- marqua le docteur , c'est que , n'entendant abso- lument rien par les oreilles en criant de toute sa force , elle entendait parfaitement bien en parlaut à voix très - basse sur son estomac . Elle NOTES . 139.
... - extraordinaire que re- marqua le docteur , c'est que , n'entendant abso- lument rien par les oreilles en criant de toute sa force , elle entendait parfaitement bien en parlaut à voix très - basse sur son estomac . Elle NOTES . 139.
Page 140
... nature ne laisse agir que dans des circonstances très - rares . « Si l'on plaçait , dit M. Petetin , une main sur celle de la malade , et qu'on l'élevât lentement , celle - ci la suivait et s'arrêtait quand l'autre sus- 140 NOTES .
... nature ne laisse agir que dans des circonstances très - rares . « Si l'on plaçait , dit M. Petetin , une main sur celle de la malade , et qu'on l'élevât lentement , celle - ci la suivait et s'arrêtait quand l'autre sus- 140 NOTES .
Other editions - View all
Common terms and phrases
acte unique actions animaux assez bêtes bonheur Bossuet Buffon cardinal de Bernis cause céleste cerveau CHAP chose Cicéron cœur comparer Condillac connaissance corps desirs Dieu différence dire discours dit-il divine doit donner doute Égypte élémens espèce esprit établir état futur éthéré eût événemens existence faculté de parler faculté de penser félicité fluide forme galvanique génie grace hommes humain idées intel jouissances l'ame l'ame des bêtes l'amour l'animal l'éléphant l'esprit l'homme l'idée l'intelligence langage langue long-temps Louis XIV Louis XVI lui-même lumière magnétisme animal manière matière mémoire ment Montesquieu morale mots mouvemens n'ont nations nature naturelle nécessairement objets observations organes organisation ouvrage Paling paraît parfaitement parole passé passions peut-être peuvent phant philosophie physique pile galvanique prédictions première principe prouver purement qu'un raison rapport réfléchir religion rien Rivarol sagesse sance semble sens sensations sensible sentimens sentiment serait seul signes sorte source sublime substance suppose sur-tout systême théisme tion trouve vérité vertu
Popular passages
Page 221 - Une jeunesse éternelle, une félicité sans fin, une gloire toute divine est peinte sur leur visage; mais leur joie n'a rien de folâtre ni d'indécent : c'est une joie douce, noble, pleine de majesté; c'est un goût sublime de la vérité et de la vertu qui les transporte : ils sont , sans interruption , à chaque moment , dans le même saisissement...
Page 327 - En un mot, il n'ya point de puissance humaine qui ne serve malgré elle à d'autres desseins que les siens. Dieu seul sait tout réduire à sa volonté. C'esT: pourquoi tout est surprenant, à ne regarder que les causes particulières, et néanmoins tout s'avance avec une suite réglée.
Page 190 - Vous vous fiez à l'ordre actuel de la société sans songer que cet ordre est sujet à des révolutions inévitables, et qu'il vous est impossible de prévoir ni de prévenir celle qui peut regarder vos enfants. Le grand devient petit, le riche devient pauvre, le monarque devient sujet : les coups du sort sont-ils si rares que vous puissiez compter d'en être exempt ? Nous approchons de l'état de crise et du siècle des révolutions...
Page 207 - Tout l'univers s'adresse à l'homme dans un langage ineffable qui se fait entendre dans l'intérieur de son âme , dans une partie de son être inconnue à lui-même, et qui tient à la fois des sens et de la pensée.
Page 282 - ... l'avenir. Le présent n'est jamais notre fin : le passé et le présent sont nos moyens; le seul avenir est notre fin. Ainsi nous ne vivons jamais , mais nous espérons de vivre ; et nous disposant toujours à être heureux, il est inévitable que nous ne le soyons jamais...
Page 282 - Que chacun examine ses pensées, il les trouvera toutes occupées au passé et à l'avenir. Nous ne pensons presque point au présent; et, si nous y pensons, ce n'est que pour en prendre la lumière pour disposer de l'avenir...
Page 200 - Et il est aussi inutile et aussi ridicule que la raison demande au cœur des preuves de ses premiers principes pour vouloir y consentir, qu'il serait ridicule que le cœur demandât à la raison un sentiment de toutes les propositions qu'elle démontre pour vouloir les recevoir.
Page 262 - Chose admirable ! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 85 - Si je me suis bien expliqué, dit 1 tu (ion , on doit avoir vu que, bien loin de tout ôter aux animaux, je leur accorde tout, à l'exception de la pensée et de la réflexion ; ils ont le sentiment, ils l'ont même à un plus haut degré que nous ne l'avons...
Page 327 - Ne parlons plus de hasard ni de fortune, ou parlons-en seulement comme d'un nom dont nous couvrons notre ignorance. Ce qui est hasard à l'égard de nos conseils incertains est un dessein concerté dans un conseil plus haut, c'est-à-dire dans ce conseil éternel qui renferme toutes les causes et tous les effets dans un même ordre.