Mélanges de religion, de critique et de littérature, Volume 1 |
Contents
| i | |
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| xxx | |
| xci | |
| 1 | |
| 49 | |
| 74 | |
| 200 | |
| 207 | |
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| 251 | |
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| 269 | |
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| 86 | |
| 100 | |
| 115 | |
| 134 | |
| 136 | |
| 139 | |
| 156 | |
| 159 | |
| 163 | |
| 166 | |
| 173 | |
| 185 | |
| 189 | |
| 195 | |
| 287 | |
| 292 | |
| 314 | |
| 329 | |
| 337 | |
| 345 | |
| 355 | |
| 373 | |
| 376 | |
| 384 | |
| 404 | |
| 412 | |
| 431 | |
| 437 | |
Common terms and phrases
adressé anciens Annales apostat auroit avez avoient avoit Bref c'étoit canonique catholique charité chef de l'Eglise chose chrétien citoyen Le Coz civile du clergé Claude Le Coz Clément clergé constitutionnel concile Concordat connoître conscience Conseil des Cinq-Cents constitution civile Convention crime culte curé déclaration décret devoir Dieu diocèse dire Directoire discipline donner doute ecclésias ecclésiastiques église encyclique enfans est-ce étoient étoit évê évêques constitutionnels faisoit falloit fanatisme fidèles Gobel gouvernement Grégoire Helvétius hommes impies intrus jamais Jansénistes l'abbé l'église constitutionnelle l'esprit l'évêque l'impiété législatif légitimes lettre liberté Loir-et-Cher malheurs marié MÉL ment métropolitain ministres monde morale mort n'en n'étoient Nièvre paix Panisset Pape parler paroît pasteurs père persécution peuple philosophes politique pouvoit presbytère prêtres principes profanations qu'un raison religieux religion république respect rétractation révolution rien Robespierre Rome s'il sacré sagesse saint siège scandales schismatique schisme Seine-et-Oise serment seroit seul soumission synode tion vérité vicaire épiscopal voilà zèle
Popular passages
Page 237 - Des dieux que nous servons connais la différence: Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance; Et le mien, quand ton bras vient de m'assassiner, M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 353 - Vous plaignez l'indigent; les religions le consolent : vous réclamez ses droits ; elles assurent ses jouissances. Ah ! nous avons parlé souvent de notre amour pour le peuple, de notre respect pour ses volontés : si ce langage ne fut pas vain dans nos bouches , respectons avant tout des institutions si chères à la multitude. De quelque nom que notre haute philosophie se plaise à les désigner , quelles que soient les jouissances...
Page 125 - On peut donc croire que c'est par un effet particulier de la Providence que le Pape s'est trouvé indépendant et maître d'un état assez puissant pour n'être pas aisément opprimé par les autres souverains , afin qu'il fût plus libre dans l'exercice de sa puissance spirituelle , et qu'il pût contenir plus facilement tous les autres évêques dans leur devoir.
Page 69 - Jésus-Christ, à vous appliquer de toutes vos forces à prouver votre soumission à ceux qui vous commandent. Par là vous rendrez à Dieu l'hommage d'obéissance qui lui est dû et vous convaincrez vos gouvernants que la vraie religion n'est nullement faite pour renverser les lois civiles. Votre conduite les convaincra tous les jours de plus en plus de cette vérité ; elle les portera à chérir et à protéger votre culte en faisant observer les préceptes de l'Évangile et les règles de la...
Page 125 - C'est par une heureuse suite de leur libéralité que l'Église, indépendante dans son chef de toutes les puissances temporelles, se voit en état d'exercer plus librement, pour le bien commun et sous la commune protection des rois chrétiens, cette puissance céleste de régir les âmes; et que, tenant en main la balance droite au milieu de tant d'empires souvent ennemis, elle entretient l'unité dans tout le corps, tantôt par d'inflexibles décrets, et tantôt par de sages tempéraments.
Page 125 - ... les uns des autres , si le Pape eût été sujet de l'un d'eux , il eût été à craindre que les autres n'eussent eu peine à le reconnaître pour Père commun , et que les schismes n'eussent été fréquents.
Page 353 - ... à l'existence des sociétés humaines. Leur besoin est senti surtout par les peuples en révolution : alors il faut aux malheureux l'espérance ; elles en font luire les rayons dans l'asile de la douleur ; elles éclairent la nuit même du tombeau ; elles ouvrent devant l'homme mortel etTmi d'immenses et magnifiques perspectives.
Page 125 - Église, la mère commune de tous les royaumes, dans la suite ne fût dépendante d'aucun royaume dans le temporel, et que le siège où tous les fidèles doivent garder l'unité, à la fin fût mis au-dessus des partialités que les divers intérêts et les jalousies d'État pourraient causer, jeta les fondements de ce grand dessein par Pépin et par Charlemagne.
Page 69 - Jésus-Christ, à vous appliquer de tout votre cœur, de toutes vos forces, à prouver votre soumission à ceux qui vous commandent. Par là, vous rendrez à Dieu l'hommage d'obéissance qui lui est dû et vous convaincrez vos gouvernants que la vraie religion n'est nullement faite pour renverser les lois civiles. Votre conduite les convaincra tous les jours de plus en plus de cette vérité ; elle les portera...