Cours de littérature Française, Volume 2

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Popular passages

Page 222 - Villon sut le premier, dans ces siècles grossiers, Débrouiller l'art confus de nos vieux romanciers.
Page 230 - Aucuns qui me hayent à tort ; Autres en ont eu desconfort, Qui m'ayment de loyal vouloir, Comme mes bons et vrais amis; Si fais à toutes gens savoir Qu'encore est vive la souris.
Page 296 - Manuel. 1 05 j'ay veu, et fit conscience d'un impost que nouvellement il avoit mis sur ses sujets, si ledit testament est vray. Or, regardez que doit faire un prince chrétien , qui n'a authorité fondée en raison , de rien imposer sans le congé et permission de son peuple.
Page 160 - Ha, gentil sire, depuis que je repassai la mer en grand péril, si comme vous savez, je ne vous ai rien requis ni demandé : or vous...
Page 301 - C'est à sçavoir, moins se soucier et moins se travailler, et entreprendre moins de choses, et plus craindre à offenser Dieu et à persécuter le peuple...
Page 27 - Voi ch'ascoltate in rime sparse il suono di quei sospiri ond'io nudriva '1 core in sul mio primo giovenile errore, quand'era in parte altr'uom da quel ch'i' sono, del vario stile in ch'io piango e ragiono fra le vane speranze e '1 van dolore, ove sia chi per prova intenda amore, spero trovar pietà, non che perdono. Ma ben...
Page 161 - Monseigneur, très grands mercis ! » Lors se leva la reine et fit lever les six bourgeois et leur ôter les chevestres (cordes) d'entour leur cou, et les emmena avec li (elle) en sa chambre, et les fit revêtir et donner à dîner tout aise, et puis donna à chacun six nobles...
Page 224 - ... le poète, par la douce émotion dont il était rempli, trouve de ces expressions qui n'ont point de date, et qui, étant toujours vraies, ne passent pas de la langue et de la mémoire d'un peuple.
Page 228 - Le temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye, Et s'est vestu de brouderie, De soleil luyant, cler et beau.
Page 82 - Pour le voir, les hommes et les femmes s'étaient mis aus « fenêtres, pleurant de leurs yeux, tant ils avaient de douleur! et ils disaient « de leur bouche , pour toute parole : Dieu ! quel bon vassal, s'il avait eu « un bon seigneur! Mais personne n'osait l'inviter, tant le roi Alphonse avait « une grande puissance; car, avant la nuit, son ordre, écrit et scellé, était « venu à Burgos avec un grand message, annonçant que personne ne donnât lo...

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