Mémoires de Michel Oginski sur la Pologne et les Polonais, depuis 1788 jusqu'à la fin de 1815 ... |
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Common terms and phrases
Adam Czartoryski adressé alliés armée avaient avez baron bataillon braves brigade campagne de 1812 cavalerie cent chambre des nonces CHAPITRE charte constitutionnelle chef d'escadron chevaux cinquième corps colonel commandant comte de Nesselrode confédération du Rhin conseil d'État conseil de palatinat cosaques Cracovie Czartoryski d'infanterie députés diète diétines duché de Varsovie escadrons événemens force garantie général Dombrowski général en chef gouvernemens Grabowski grand-duc guerre habitans j'ai Joseph Joseph Poniatowski Kalisz Koutousoff l'armée polonaise l'arrière-ban l'Autriche l'em l'empereur Alexandre l'ennemi l'Europe lieutenant Lithuanie Majesté impériale Majesté l'empereur Malachowski maréchal mée membres ment Metternich militaires mille hommes Minsk Mohilow Moscou Napoléon nation Niémen nommé novembre officiers ordres paix patrie pays Pétersbourg Polo Potocki présente prince Poniatowski Prusse quartier-général régimens régiment représentans reste retraite réunis royaume de Pologne Russie S. M. l'empereur sénat sénateurs sentimens sera seront seul Signé Sire Smolensk soldats souverain tion traité troupes trouvait Wilna Witepsk Zaïonczek
Popular passages
Page 119 - Les puissances confirment à l'empire français une étendue de territoire que n'a jamais, connue la France sous ses rois, parce qu'une nation valeureuse ne déchoit pas pour avoir à son tour éprouvé des revers dans une lutte opiniâtre et sanglante , où elle a combattu avec son audace accoutumée.
Page 129 - Souverains alliés accueillent le vœu de la Nation française. Ils déclarent : Que si les conditions de la paix devaient renfermer de plus fortes garanties, lorsqu'il s'agissait d'enchaîner l'ambition de Bonaparte, elles doivent être plus favorables, lorsque par un retour vers un gouvernement sage, la France elle-même offrira l'assurance de ce repos.
Page 132 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 134 - Majesté l'empereur Napoléon renonce pour lui et ses successeurs et descendants, ainsi que pour chacun des membres de sa famille, à tout droit de souveraineté et de domination , tant sur l'empire français et le royaume d'Italie que sur tout autre pays.
Page 192 - Les Cours de Russie, d'Autriche et de Prusse s'engagent à respecter et à faire respecter en tout temps la neutralité de la ville libre de Cracovie et de son territoire; aucune force armée ne pourra jamais y être introduite sous quelque prétexte que ce soit.
Page 119 - Elles veulent un état de paix , qui , par une sage répartition de forces, par un juste équilibre, préserve désormais leurs peuples des calamités sans nombre qui, depuis vingt ans, ont pesé sur l'Europe. Les puissances alliées ne poseront pas les armes sans avoir atteint ce grand et bienfaisant résultai , noble objet de leurs efforts.
Page 200 - Des présidens des deux cours de justice; 4- De quatre magistrats conciliateurs pris à tour de rôle; 5. De trois citoyens choisis par le fonctionnaire mis en jugement. La présence de neuf membres est requise pour porter la décision.
Page 276 - Aucun noble ne peut être admis à voter en diétine, s'il n'est inscrit dans le livre civique des nobles du district, s'il ne jouit de ses droits de citoyen, s'il n'est âgé de vingt et un ans acccomplis, et s'il n'est propriétaire foncier.
Page 194 - Les droits actuels des cultivateurs seront maintenus. Devant la loi tous les citoyens sont égaux, et tous en sont également protégés. La loi protège de même les cultes tolérés.
Page 76 - Investi de tous côtés, Napoléon ne perd pas la tête : il trompe, par des démonstrations habiles, les généraux qui lui sont opposés, et glissant, pour ainsi dire, entre les armées qui s'apprêtent à fondre sur lui, il exécute son passage sur un point bien choisi, où tout l'avantage du terrain se trouve de son côté. « Le mauvais état des ponts, dont il ne dépendait pas de lui d'améliorer la construction, fut l'unique cause qui, en ralentissant l'opération, la rendit si périlleuse....