Revue moderne, Volume 32A. Franck., 1865 |
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Alexandre Ambroise assez avaient Bandiera Berquet c'était Calabre catholique cause Cazalla CHARLES DOLLFUS Charles-Louis charme chose chrétiens ciel cœur comte condamné côté devant Dieu dieux dire divin donner doute Église enfants esprit famille femme fille fils force frère gouvernement Grèce hérésies hérétique Homère hommes idées Iskander j'ai jeune jour Képler l'Église l'Électeur l'esprit l'homme laisser Laurence lettre liberté livre luthérienne main mariage Max Müller Maxime de Turin Mazzini Ménélas ment mère Mme de Breuille Mme de Peyrols Mme de Rouallec Mme Roland monde morale mort Müller mythes mythologie n'avait n'était Palatin Palatinat passer passion pays Pécaut Pénélope pensée père personne peuple Peyrols philosophie Pirmasens poëte politique premier prêtre prince Henri qu'un question raison regard religieuse reste Révolution Rheinsberg rien s'est Saint-Office sainte sanbenito semble sentiment serait seul siècle Simon Toll Sivignac sorte Symbole des Apôtres Tertullien tion trouve Valladolid ve siècle vérité Vritra yeux Zeus
Popular passages
Page 538 - ne veut pas la mort du pécheur, mais qu'il se convertisse et qu'il vive *, » prolonge souvent le temps de la pénitence.
Page 8 - Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, Créateur du ciel et de la terre, et en Jésus-Christ, son Fils unique, notre Seigneur, qui a été conçu du Saint-Esprit...
Page 579 - J'ai tenu à détruire tous les obstacles qui s'opposaient à la création des sociétés destinées à améliorer la condition des classes ouvrières. En permettant l'établissement de ces sociétés , sans abandonner les garanties de la sécurité publique, nous faciliterons une utile expérience.
Page 464 - Son silence habituel n'était interrompu qu'à d'assez longs intervalles, » et pour lors jaillissaient les mots ou neufs, ou tins, ou gais, ou d'une douce > malice, mais toujours ingénieux. Pour bien saisir le sel de la plupart, il était » nécessaire d'avoir certaines connaissances locales et d'avoir bu des eaux de la » Seine. Le chevalier, nourri de succès, ne prévoyait guère une absence totale • d'applaudissements. Cette espèce de chute lui causa de la surprise. Au-dessus » des faiblesses...
Page 8 - Dieu invisible, le premier-né de toutes les créatures ; — car c'est par lui qu'ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, soit les Trônes, ou les Dominations, ou les Principautés, ou les Puissances, tout a été créé par lui et pour lui.
Page 464 - Ce célèbre chevalier, si piquant d'imagination, si original de talent, si facile d'humeur, si heureux de caractère et si parfait d'obligeance; ce chevalier possédait l'esprit français par excellence; mais cet esprit qui avait fait les délices de la cour de Lunéville, de celle de Versailles et des salons de Paris, soutenait mal chez les Prussiens l'épreuve de l'expatriation.
Page 374 - Sont eux-même un écho de ta propre grandeur! Tu ne dors pas souvent dans mon sein, nom sublime ! Tu ne dors pas souvent sur mes lèvres de feu : Mais chaque impression t'y trouve et t'y ranime, Et le cri de mon âme est toujours toi, mon Dieu ! IV.
Page 36 - Les enfants naturels ne pourront, par donation entre-vifs ou par testament, rien recevoir au delà de ce qui leur est accordé au titre d-es Successions (756 à 766).
Page 444 - La simplicité de ses manières, l'urba» nité de son langage, l'aménité de son caractère, lui attiraient l'affection. La • petitesse de sa taille, l'irrégularité de ses yeux, les désagréments de sa figure, » qui choquaient au premier abord, s'oubliaient...
Page 295 - ... étaient soumis à la contribution ou au feu, s'ils refusaient de contribuer. On l'a déjà dit à propos de la Hollande, c'était le droit de la guerre en ce temps-là, droit que l'Électeur Palatin lui-même, dans sa lettre de défi à Turenne, ne songeait pas à contester : « Il me semble, disait-il, qu'à toute rigueur on ne met le feu qu'aux lieux qui refusent des contributions. » Si ce droit était incontestable, ce n'était certainement pas Louvois qui eût négligé de le faire valoir....