Revue de Bretagne de Vendée & d'Anjou, Volume 27O. de Gourcuff, 1902 - Anjou (France) |
Other editions - View all
Common terms and phrases
administrateurs artistique Artur attroupement avaient avons Avril balnéaires et thermales billets simples Brest Bretagne REVUE breton brigands Canclaux Caradeuc Champeaux chapelle château chef chevaliers citoyen commandant commissaires comte comte d'Hector Cornulier Croisic d'Artur devant district église électeurs Etats famille femme fille fils force armée frères Bernard gallois garde nationale Gauvain général Gondet GOURCUFF Guérande Guipavas heures hommes Ivain jeune Joseph jour juge l'abbé l'accusé l'église l'Ouest LAFOLYE LAFOLYE FRÈRES Lancelot Landerneau Lannilis Lannion Léon Lesneven lettre livre Louis maire maison Malory marine mars matin ment Merlin militaires Missillac Morlaix mort mythologique Nantes Noblesse Notre-Dame officiers municipaux Ollivier Parlement paroisse passé pays père Plabennec Pléchâtel Plouénan poésie porte président procureur province RENÉ DE LAIGUE reste Revue de Bretagne Rieux Roche Roche-Bernard Roche-Sauveur romans Saint-Pol sainte Anne sainte Vierge seigneur sénéchal sera seul soir sort stations balnéaires Thomas Caradeuc tion toyens Tréguier tribunal Tronjolly trouve Vannes XVIIe siècle Yaudet
Popular passages
Page 158 - Paris-LyonMéditerranée, les billets ne sont délivrés qu'aux familles d'au moins quatre personnes et le prix s'obtient en ajoutant au prix de six billets simples ordinaires le prix d'un de ces billets pour chaque membre de la famille en plus de trois.
Page 320 - Où sont-ils, les marins sombres dans les nuits noires? O flots, que vous savez de lugubres histoires! Flots profonds redoutés des mères à genoux! Vous vous les racontez en montant les marées, Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées Que vous avez le soir quand vous venez vers nous!
Page 320 - Oh! que de vieux parents, qui n'avaient plus qu'un rêve, Sont morts en attendant tous les jours sur la grève Ceux qui ne sont pas revenus!
Page 373 - ... répondent à un besoin intellectuel que la presse quotidienne ne peut satisfaire ; celle-ci a bien assez de remplir sa tâche obligée. Le journal quotidien, c'est l'ami et le compagnon qui vient vous éveiller le matin, ou vous distraire le soir et vous salue en vous apportant l'écho et le commentaire de tout ce qui se passe, de tout ce qui se dit, de tout ce qui se fait ou doit se faire. De vous à lui c'est une sorte de conversation rapide , qui excite ou délasse l'esprit, provoque la pensée...
Page 137 - Dufresne est demeuré d'accord. Et au moyen de quoy a esté arresté qu'il sera mis ordre à ce que l'argent soit reçu à la porte du jeu de paulme par personnes que l'on commettra pour cet effaict.
Page 169 - Saint-Goazec, et surtout celle de Pont-Croix. Celle-ci est logée dans une niche formée d'un ancien retable à colonnes torses, sa figure a une grande noblesse, ses vêtements sont sculptés et drapés avec un art extraordinaire. Des deux côtés sont disposés quatre médaillons en bas-relief représentant : un ange annonçant à sainte Anne qu'elle sera mère de la...
Page 47 - Perrin, capitaine rapporteur, le condamne à la peine de mort. Déclare ses biens acquis et confisqués au profit de la République; ordonne que le présent jugement sera mis sur-le-champ à exécution , à la diligence du commandant de la force armée.
Page 144 - C'est le paradis terrestre pour les « mœurs, la simplicité, la vraie grandeur patriarcale : « des paysans dont l'attitude devant les seigneurs est « celle d'un fils tendre devant son père, des seigneurs « qui ne parlent à ces paysans dans leur langage gros...
Page 16 - Roy sejourna en la ville de Rheims; car M. de Martigues et les comtes de Ligny, de Brienne et de Roussy, tous du nom et des armes de Luxembourg, en voulurent murmurer; mais on leur imposa bientost silence par ceste seule remontrance, qu'ils estoient bien princes, mais d'Allemaigne et estrangers, et le sire de Rieux prince français. CHAPITRE IV. Henri II prend la résolution de visiter les provinces de son royaume.
Page 140 - Nous citerons, comme exemple d'une chanson morale, la chanson bretonne qui suit, et qu'à recueillie M. de Corcelle; car, sous la forme d'un récit peu développé, elle exprime l'horreur pour le mensonge, survivant même aux égarements d'une vie désordonnée : Adieu ma mie, je m'en vas (Us).