| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1822 - 496 pages
...nous jugerions qu'il seroit à propos ; que nous nous étions néanmoins abstenus jusqu'à présent d'en parler en public, crainte d'interrompre la paix...liberté , nous ne pouvions plus différer , mais étions tenus d'en faire une sérieuse et trèsaffectionnée instance envers messieurs les Etats, pour... | |
| Pierre Jeannin - France - 1819 - 616 pages
...nous jugerions qu'il serait à propos. Que nous nous étions néanmoins abstenus jusqu'à présent d'en parler en public, crainte d'interrompre la paix;...cette liberté, nous ne pouvions plus différer , mais étions tenus d'en faire une sérieuse et très affectionnée instance envers MM. les états , pour... | |
| Pierre Jeannin - France - 1821 - 500 pages
...nous jugerions qu'il seroit à propos; que nous nous étions néanmoins abstenus jusqu'à présent d'en parler en public, crainte d'interrompre la paix...cette liberté , nous ne pouvions plus différer, mais étions tenus d'en faire une sérieuse et trêsall'ectionnée instance envers messieurs les Etats,... | |
| France - 1822 - 480 pages
...nous jugerions qu'il seroit à propos ; que nous nous étions néanmoins abstenus jusqu'à présent d'en parler en public, crainte d'interrompre la paix;...liberté , nous ne pouvions plus différer , mais étions tenus d'en faire une sérieuse et trêsaffectionnée instance envers messieurs les Etats, pour... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1822 - 506 pages
...nous jugerions qu'il seroit à propos ; que rious nous étions néanmoins abstenus jusqu'à présent d'en parler en public, crainte d'interrompre la paix ; mais la voyant comme rompue an l'elus d'accorder cette liberté , nous ne pouvions plus différer , mais étions tenus d'en faire... | |
| Joseph Fr. Michaud - France - 1837 - 752 pages
...nous jugerions qu'il serait à propos; que nous nous étions néanmoins abstenus jusqu'à présent d'en parler en public , crainte d'interrompre la paix...cette liberté, nous ne pouvions plus différer, mais étions tenus d'en faire une sérieuse et très-affectionnée instance envers messieurs les Etats,... | |
| Pierre Jeannin - France - 1837 - 742 pages
...jugerions qu'il serait à propos; que nous nous étions néanmoins abstenus jusqu'à présent d'eo parler en public , crainte d'interrompre la paix;...cette liberté, nous ne pouvions plus différer, mais étions tenus d'en faire une sérieuse et très-affectionnée instance envers messieurs les Etats,... | |
| Joseph Fr. Michaud - France - 1837 - 752 pages
...jugerions qu'il seroit à propos; que nous nous étions néanmoins abstenus jusqu'à présent d'ea parler en public , crainte d'interrompre la paix ;...cette liberté, nous ne pouvions plus différer, mais étions tenus d'en faire une sérieuse et très-affectionnée instance envers messieurs les Etats,... | |
| Joseph Fr. Michaud - France - 1837 - 748 pages
...néanmoins abstenus jusqu'à présent d'en parler en public , crainte d'interrompre la paix; mais lu voyant comme rompue au refus d'accorder cette liberté, nous ne pouvions plus différer, mais étions tenus d'en faire une sérieuse et très-affectionnée instance envers messieurs les Etats,... | |
| Pierre Jeannin - France - 1838 - 796 pages
...nous jugerions qu'il seroit à propos ; que nous nous étions néanmoins abstenus jusqu'à présent d'en parler en public , crainte d'interrompre la paix ; mais la voyant comme rompue au refus de celle liberté, nous ne pouvions plus différer, mais étions tenus d'en faire une sérieuse et... | |
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